Encore et encore
Datte: 09/09/2023,
Catégories:
fh,
extracon,
voisins,
plage,
sport,
bain,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
pénétratio,
québec,
extraconj,
Auteur: Rb07, Source: Revebebe
... coup de l’éjaculation et que nous jouissions tous deux bestialement. J’avais rapproché mon torse de son dos, empoigné ses seins que je sentais fermes et hérissés dans mes mains, et je mordis l’épaule qui se trouvait à ma portée pendant que le dernier jet de sperme chaud se perdait en elle.
Une première goutte de pluie vint s’écraser sur mon torse, rejoignant nos sueurs mélangées qui le couvraient. Puis une deuxième, puis plus, en même temps, puis trop pour que je ne puisse en conserver le compte. Des éclairs lointains éclairaient le ciel, faisant gronder un tonnerre de plus en plus rapproché. La pluie chaude, mais tout de même salvatrice après ces jours de canicule tombait maintenant abondamment, douchant nos corps nus, encore reliés par nos sexes temporairement repus. Mes lèvres sur l’épaule de Sophie cherchèrent sa nuque, puis la ligne de sa mâchoire, puis ses lèvres salées par sa transpiration retrouvèrent les miennes alors qu’elle se tordait le torse pour me rejoindre. Nous semblions encore affamés l’un de l’autre.
La position accroupie qu’elle tenait au-dessus de moi depuis tout ce temps dut avoir raison de sa résistance. Elle se leva après que nos respirations eurent repris leur rythme normal, laissant mon sexe ramolli glisser hors d’elle se faisant. Un éclair fit luire son corps couvert de pluie, sublime vision en contre-plongée qui resta imprégnée dans mes rétines lorsque la noirceur nous enveloppa à nouveau. Le tonnerre qui suivit peu de temps après nous ...
... indiqua que l’orage était maintenant sur nous. Je me levai à mon tour, trouvai la main de Sophie et, sans dire un mot, l’attirai vers l’escalier qui menait de la plage au terrain.
Le vent fouettait maintenant la pluie sur nos corps, les arbres se faisaient secouer sous les bourrasques, de l’écume se formait à la surface de la rivière. Nous atteignîmes la véranda à la course, nus comme des vers, quand je réalisai que nos vêtements étaient restés sur la plage. À la hâte, j’y retournai à grandes enjambées, ce qui faisait ballotter mes organes génitaux entre mes cuisses. Drôle de sensation. Ce n’était pas tous les jours que je m’offrais une course nudiste ! Je retrouvai nos vêtements complètement trempés et couverts du sable que la pluie drue et le vent faisaient voler. En retournant vers l’escalier, je vis Sophie qui s’y tenait, les bras tendus vers le ciel, la tête penchée vers l’arrière, la bouche ouverte, à boire la pluie qui tombait à torrents.
Je n’avais pas d’envie de retrouver la civilité de l’intérieur. Pas plus qu’elle, il me semblait. Les bêtes sauvages que nous étions qui avaient surchauffé toute la journée s’accommodaient très bien de l’orage. L’accueillaient, en fait. Je lançai les vêtements sur le gazon, et m’agenouillai devant elle pour l’imiter, buvant à même le ciel déchaîné. J’avais soif, mais l’eau ne venait pas à moi assez rapidement.
L’eau ruisselant sur son corps, coulant de son cou à son ventre, en petit torrent se concentrant entre ses seins m’attira. ...