Encore et encore
Datte: 09/09/2023,
Catégories:
fh,
extracon,
voisins,
plage,
sport,
bain,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
pénétratio,
québec,
extraconj,
Auteur: Rb07, Source: Revebebe
... s’abandonnait complètement à sa masturbation assistée de son gode de chair, pour le plus grand plaisir de mes oreilles. Sa voix ronde et chaude, aiguë, mais profonde, emplissait l’air de halètements de plus en plus saccadés. Le crescendo qu’elle accomplit m’annonça qu’elle jouissait, déjà, après à peine une minute de chevauchée, me sembla-t-il. Tout s’était passé tellement rapidement que j’avais à peine eu le temps d’en profiter, accaparé par mon évaluation de la météo de la soirée. Elle s’immobilisa, droite devant moi, bien assise sur mon sexe encore totalement dur, les spasmes de son orgasme se répercutant toujours à l’intérieur d’elle.
Croyant que le jeu était terminé, je posai à nouveau une main dans son dos en caresse, pour la remercier de ce court spectacle, ce qui la sortit rapidement de sa transe. Se tournant à nouveau vers moi, d’une voix encore essoufflée, elle expira d’un coup :
— On ne bouge pas ! J’en ai eu pour des heures et des heures à te regarder. Tu crois que tu t’en sortiras après deux minutes ?
Et ainsi, elle recommença à broyer mon sexe dans le sien, roulant des hanches dans toutes les directions. Je sentais distinctement à la base de mon pénis une petite vibration qui me fit réaliser qu’une main de Sophie s’affairait à chatouiller son clitoris, plutôt ardemment. J’étais ébahi de l’aise qu’elle avait à se branler devant moi, sans compter qu’elle s’empalait sur moi sans retenue, sans gêne, sans censure.
Je ne saurais dire si c’était la fatigue ...
... physique de la journée, ou la domination de Sophie qui me fit durer longtemps, incroyablement longtemps, pendant qu’elle s’administrait orgasme après orgasme. Peut-être aussi son con expert, qui variait pression, profondeur, et rythme de manière à ne jamais me faire franchir le point de non-retour ? Toutefois, plus le temps avançait, moins j’étais en mesure de rester complètement passif. Après tous ces cris de jouissance, ces soupirs langoureux, ces bruits de vulve humide contre ma hampe, ce dos sublime qui s’arquait, s’étirait, où la sueur y coulait tout au long de la colonne vertébrale, et ses seins que je voyais balancer érotiquement sous ses mouvements, lorsqu’elle ne les avait pas empoignés fermement de ses propres mains à les malaxer, je commençai à remuer sous elle par excès d’envie, à suivre ses mouvements de mon propre bassin, à aller au-devant de ses fesses quand elle descendait vers moi.
Ses soupirs qui avaient diminué en intensité reprirent en vigueur. Je risquai une main sur une hanche, pour mieux rythmer nos mouvements, et elle fut tolérée. Ses cris faisaient écho de l’autre côté de la rivière, et les miens s’y joignirent, mêlés aux grillons qui eux aussi chantaient pour s’accoupler. Maintenant, c’était moi qui allais et venais en elle, plutôt qu’elle qui montait et descendait sur moi. Mes coups de bassin toujours plus longs et plus forts nous faisaient monter et monter en plaisir et nos cris emplirent l’espace pendant mon sexe se gonflait à l’extrême sur le ...