Encore et encore
Datte: 09/09/2023,
Catégories:
fh,
extracon,
voisins,
plage,
sport,
bain,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
pénétratio,
québec,
extraconj,
Auteur: Rb07, Source: Revebebe
... surmontées de ses deux superbes fesses blanches, rondes et de dimensions parfaites, qui roulaient sous ses pas. Elle avançait sur la pointe des pieds, ce qui définissait encore mieux sa croupe sublime. Son dos se creusait au niveau de sa taille si superbement féminine, et la musculature fine de son dos se découpait des omoplates à la nuque. La nature pouvait faire des merveilles.
Sans la quitter des yeux, je me défis de mes vêtements et rejoins la rivière à mon tour. Devant moi, Sophie plongea et, dans l’eau devenue noire de par la tombée du jour, je la perdis de vue pendant presque une minute. Je commençais à m’inquiéter lorsqu’elle émergea silencieusement juste devant moi, avec l’eau qui lui arrivait environ au nombril. Son visage ruisselant, souriant, et ses seins raffermis par le léger courant d’air qui nous caressait me faisaient face. Si la nature pouvait faire des merveilles pour son verso, elle s’était définitivement surpassée pour le recto.
J’avais aussi l’eau à la taille ce qui m’arrangeait bien pour camoufler mon érection naissante, si subtilement encouragée par les caresses que l’eau vive me procurait.
— L’eau est bonne, belle Dame ?
— Oh que oui, beau Monsieur.
Il y avait longtemps que l’on ne m’avait pas appelé ainsi. Peut-être jamais, en fait. Je jetai un coup d’œil derrière mon épaule pour m’assurer que ces paroles m’étaient tellement destinées.
— Merci, dis-je en m’approchant d’elle.
— Il n’y a pas de quoi, répliqua-t-elle, en faisant un ...
... pas vers moi.
Je posai mes mains sur ses hanches, en conservant mes yeux dans les siens. Je l’attirai vers moi, son corps créant une vague qui vint frapper mon ventre, avant que sa peau ne touche la mienne. Mon sexe dressé s’imposa entre nous, tige chaude écrasée entre nos abdomens dans l’eau plus fraîche. Nos langues s’enroulèrent dans un baiser d’une rare obscénité, où il me sembla que chacun cherchait à dévorer l’autre. Ses ongles s’enfoncèrent dans la peau délicate de mes fesses, et je lui empoignai les deux seins, sentant les pointes dressées au creux de mes paumes. La texture de ses lèvres était délicieuse, elles étaient fraîches, sa langue ferme, mais souple, inquisitrice, exploratrice. Trop rapidement, elle délaissa ma bouche, embrassant mon cou, me léchant. Toujours les mains sur mes fesses, elle entreprit de descendre sur moi, laissant des traits de bave sur mon torse et mes abdominaux. Arrivée au niveau de l’eau, elle plongea la tête pour engouffrer mon sexe, disparaissant sous la surface, ne laissant que ses cheveux flotter. Je sentais le contraste de sa bouche chaude et de l’eau plus froide alors qu’elle faisait glisser ses lèvres sur mon sexe, entortillant sa langue autour de mon gland lorsque c’était possible. Quand, j’imagine, elle fut à bout de souffle, elle se releva, revint poser ses lèvres sur les miennes, me laissant goûter à mon propre sexe, et d’une main qu’elle avait libérée, elle commença à me branler.
— Viens sur la plage, me soupira-t-elle à ...