1. Élodie, Coralie et leur maman (suite) (1)


    Datte: 03/07/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... qu’autre chose. Au moment où j’allais partir, j’avais fermé ma caisse, un client m’a apporté un petit sac, il venait de passer à la caisse d’Élodie et n’était juste qu’un messager. Je me suis empressé d’ouvrir ce sachet pour constater qu’il s’y trouvait une culotte manifestement bien poisseuse. Je suis devenu tout rouge, mais surtout j’ai rapidement regardé autour de moi en m’assurant que personne ne m’avait vu ouvrir ce sac et surtout en constater le contenu. Heureusement il ne m’a fallu que quelques secondes pour retrouver mon sang-froid et faire comme si de rien n’était. Je suis monté avec ma caisse, et dans l’escalier qui menait à la salle de comptage, j’ai réussi à glisser discrètement le sac odorant dans ma poche. Il fallait que je reste concentré, car on n’a pas le droit à l’erreur pendant que l’on compte sa caisse où il faut séparer les chèques, l’espèce, les tickets carte bleue, les bons de réduction, les bons d’achat. Une fois l’opération terminée, j’ai rangé ma caisse et je suis descendu pointer, la journée était finie.
    
    Quand je suis retourné au vestiaire je me suis empressé d’ouvrir mon téléphone, il était plein de messages.
    
    — Alors comme ça, ma fille t’a fait un petit plaisir dans les vestiaires.
    
    J’hallucinais, Nathalie était déjà au courant, décidément dans cette famille ça communiquait beaucoup.
    
    — Coucou mon chéri, quand tu liras ce message, ta journée sera finie.
    
    — J’espère que tu as aimé la petite turlutte que je t’ai offerte pendant ta ...
    ... pause.
    
    — Normalement, si tout s’est bien passé, tu devrais avoir dans la poche de ton pantalon, un petit sachet avec une culotte bien juteuse de ma maman.
    
    — Elle voulait te faire une petite surprise.
    
    — Nous étions sûres que tu ne pourrais pas te retenir de la sentir avant de quitter le vestiaire.
    
    — Tu m’en diras des nouvelles.
    
    Quand j’ai ouvert le sachet, en faisant attention à ne pas être vu, je n’ai effectivement pu me retenir de porter la culotte de Nathalie à mes narines. Elle était encore humide, cela a été plus fort que moi, il a fallu que je la lèche pour retrouver ce goût si délicieux de Nathalie.
    
    Après avoir léché l’entrejambe de cette culotte, mon érection était déjà à nouveau présente. En même temps Élodie venait de me vider mon sexe de sa semence une heure trente auparavant.
    
    — Je vous remercie Nathalie pour votre présent, il m’a un peu mis dans l’embarras sur le coup, mais je suis très heureux de pouvoir sentir votre intimité du jour.
    
    Eh oui il fallait que je fasse un petit message de remerciement à la maman d’Élodie, même si cette petite attention avec pour but de me dévergonder toujours un peu plus. À défaut d’avoir l’énergie pour tirer sur l’élastique, je n’ai pas pu me retenir en passant devant les toilettes du boulot en partant, d’aller enfiler la petite culotte, poisseuse et odorante, de belle-maman. J’étais conscient que j’allais sentir la femme désireuse, mais en même temps j’adorais l’odeur de son intimité, comme celles de ses filles. Je ...
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