1. Élodie, Coralie et leur maman (suite) (1)


    Datte: 03/07/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... les jours, il fallait juste que je fasse attention à ce que cela ne se voie pas quand je rentre chez moi.
    
    — Coucou bel étalon, je peux vous garantir que vous nous manquez déjà.
    
    — Élodie est vraiment très fière de toi, elle a trouvé un bel étalon.
    
    — Coralie est pressée de te revoir aussi.
    
    — Pour ce qui est de moi, je n’arrive pas à me faire au fait que vous viviez de votre côté alors que vous pourriez satisfaire trois femmes désireuses chez nous.
    
    Voilà les SMS que je venais de recevoir en rentrant, mes parents se sont demandé qui m’écrivait avec tant d’insistance, je leur ai répondu que c’était ma chérie à qui je manquais déjà.
    
    — Franck, je n’ai pas eu l’occasion de te le dire, mais maman, Élodie et moi sommes folles de toi.
    
    Décidément, la mère et l’autre fille avaient mon téléphone et ne se privaient pas de m’envoyer des sextos. Manifestement Élodie n’était pas jalouse et de plus, elle était partageuse avec sa sœur et sa mère. Quand je suis rentré dans ma chambre, bien évidemment le plus dur a été de ne pas tirer sur l’élastique, car la tenue que je portais ne me laissait toujours pas indifférent.
    
    — Eh ben Franck, ta copine, tu as l’air de déjà lui manquer.
    
    En fait j’ai trouvé la solution pour éviter les commentaires de mes parents, c’est de couper la sonnerie d’arrivée des SMS. Nous venions de manger, j’étais dans ma chambre, je ne voulais pas m’endormir trop tard car j’étais d’ouverture le lendemain matin à huit heures et demie.
    
    Au petit ...
    ... matin, c’est mon téléphone qui m’a réveillé car j’étais encore loin dans mes rêves érotiques. Bien évidemment, j’avais déjà mon lot de sextos de la part de Nathalie, Coralie et Élodie. J’étais surtout épuisé parce que m’avait imposé la famille d’Élodie la veille. Vu que mes dessous sentaient très fort la femme, je n’ai pu me retenir de partir travailler avec. Toute la journée j’ai dû rester concentré sur les articles que je scannais, car j’avais la tête à tout ce que je venais de faire la veille. Je n’ai travaillé que trois heures, car à cette époque nous avions quatre heures de coupure. Je me faisais un plaisir de reprendre le boulot l’après-midi car je savais que j’aurais une heure de travail en commun avec Élodie, la dernière heure. L’astuce était de m’arranger pour avoir mon quart d’heure de pause de l’après-midi, le plus tard possible pour que je puisse voir ma belle arriver. Le plus dur était de ne pas se faire surprendre dans notre complicité, Élodie jouait le jeu à cent pour cent. Donc ce soir-là, j’ai réussi à prendre ma pause juste à l’heure où arrivait ma chérie.
    
    — Alors, mon étalon m’attendait, il était en manque de moi.
    
    — Viens avec moi.
    
    Élodie m’a pris par la main pour m’emmener tout au fond des vestiaires où il y avait un petit recoin. Un peu étonné, je me suis laissé guider. Arrivé là où Élodie le désirait, elle n’a plaqué contre le mur et il ne lui a fallu que quelques instants pour libérer mon sexe. Bien évidemment, de mon côté je me suis retrouvé très ...
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