Élodie, Coralie et leur maman (suite) (1)
Datte: 03/07/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: sifeminin, Source: Xstory
... rapidement au garde-à-vous, Élodie tenait mon sexe en main. Je ne m’attendais pas à ça, mais ma pause allait être mémorable, Élodie venait de s’agenouiller devant moi. Le risque de me faire surprendre sur mon lieu de travail, dans les vestiaires, par les collègues ou les supérieurs m’excitait énormément. Il y avait des rangées d’armoires métalliques rangées dos à dos et nous étions totalement à l’opposé de l’entrée du vestiaire. Quand je me suis appuyé sur une porte, j’ai constaté que cette dernière était ouverte, nous avons rapidement regardé ce qu’il y avait dedans. C’était un local archives et en même temps de stockage pour les fournitures de caisses.
C’est le sexe à l’air, que je me suis engouffré avec Élodie dans ce petit local. Elle s’est rapidement remise à genoux et a pris mon sexe en bouche pour me pratiquer une fellation d’anthologie. Je ne vais pas dire que j’étais désireux ou en manque, mais j’avais peur que la prestation de ma belle s’avère un peu trop longue et que je dépasse mon temps de pause. Élodie m’a regardé avec un sourire amusé, quand elle a constaté que je portais ses dessous odorants. Pendant qu’elle était en train de me sucer, elle en profitait pour me caresser l’intérieur des cuisses mais aussi la raie des fesses à travers mon pantalon. Compte tenu du timing qui m’était imposé, j’ai fait attention à ne pas me retenir, je savais qu’Élodie ne rechignait pas à tout réceptionner dans la bouche. Vu le contexte, j’ai honte de le dire, mais je n’ai ...
... pas été bien long à me vider les burettes, ma belle a bien évidemment veillé à ne pas en gaspiller une goutte. Comme d’habitude elle a continué à m’aspirer le dard encore quelques instants, mais elle a quand même fait attention à respecter le temps qui m’était imparti pour ma pause.
J’ai eu le droit quand même, à un rapide baiser, qui ne m’a même pas permis de sentir le goût de mon sperme. Ma belle est partie se préparer, tandis que moi je redescendais pointer pour reprendre mon service. Le hasard a voulu que la caissière centrale nous mette pratiquement face à face, ainsi je n’avais aucune chance d’oublier ce qu’elle venait de me faire pendant ma pause. Le plus provocant qu’Élodie ait pu me faire durant ma dernière heure de travail pour moi, c’est de jouer avec sa salive, en en faisant sortir juste un peu, puis la faire rentrer rapidement. Nous étions les seuls à pouvoir comprendre cette allusion on ne peut plus obscène, mais cela n’était pas pour me déplaire. J’étais de plus en plus amoureux de cette jeune femme, et de tout ce qui allait avec, à savoir sa maman et sa petite sœur. Ce qui m’amusait, c’est que tous les clients mataient ma copine quand ils passaient à sa caisse. Bon, il n’y avait pas que les clients, de nombreux collègues à moi me disaient qu’Élodie devait être bonne, sans savoir qu’elle et moi étions ensemble. Certains, allaient même jusqu’à me donner les détails de comment ils s’occuperaient d’elle.
Quand je les voyais, j’avais plus tendance à sourire ...