1. Pour la bonne cause


    Datte: 05/09/2023, Catégories: fh, voisins, parking, collection, Oral 69, pénétratio, fdanus, délire, occasion, Auteur: Ian, Source: Revebebe

    ... l’engin et cuisses écartées, je vois des muscles se profiler à la faveur de l’éclairage blafard que prodiguent les néons de l’allée centrale du parking.
    
    Ces volumes aux proportions idéales contribuent à me ragaillardir alors que mon gland vient au contact de la vulve de Muriel. D’une main ferme, elle le presse sur ses grandes lèvres. Il ne demande qu’à plonger entre elles. Mais je fais une excursion vers la bague anale en signe de reconnaissance pour marquer une intention et retourne m’enfoncer dans le vagin de ma partenaire qui cherche à tâtons des points d’appui pour assurer son équilibre.
    
    Bien cambrée, nerveuse de l’entrecuisse, et la poitrine moulée dans un Lycra détrempé où pointent les tétons, je ne peux que me régaler à l’idée de la fourrer à nouveau.
    
    Le scooter calé sur béquille centrale joue à la bascule, rebondissant sur son pneu arrière et donnant ainsi des impulsions surprenantes à mes coups de boutoir dont la cadence se met au diapason du grincement de l’engin et du cliquetis des piercings de la belle.
    
    J’observe et sens au toucher une chaînette dorée qui lui ceint la taille.
    
    Tellement sexy !
    
    J’appose ma main droite à plat sur son pubis et la recroqueville comme pour saisir mon dard coulissant à quelques centimètres sous sa chair.
    
    Elle adore, tout comme le pouce qui lui titille le clitoris et s’enfonce de temps à autre dans son vagin, décuplant ainsi les sensations générées par la pénétration.
    
    Je perçois le mouvement de ses yeux qui partent ...
    ... dans tous les sens, signe d’une jouissance qui monte crescendo.
    
    Tout à l’heure, elle avait la bouche pleine, ce qui amortissait l’expression de son plaisir, mais là, elle monte le son.
    
    Je tire à moi l’extrémité basse de son « bra », l’entortille grosso modo en tapon, et lui colle entre les dents.
    
    Elle le mordille volontiers, il est imbibé de foutre et de sueur ; ses petits cris aigus qui me faisaient craindre d’ameuter le voisinage deviennent sourds, étouffés.
    
    Un grognement animal entrecoupé de brèves respirations envahit l’espace bétonné dans lequel nous forniquons. Le va-et-vient de mon sexe dans le sien la fait entrer dans une danse frénétique.
    
    Par chance, la selle du scooter enduite de nos fluides corporels se comporte maintenant tel un banc de fessée.
    
    Glissant à souhait, il donne à ma cavalière l’illusion de surfer sur un bonheur bien éphémère.
    
    Voyant qu’elle tient la route sur sa monture, je lâche ses cuisses pour lui pincer le bout des seins. J’aime leur fermeté, leur résistance, leur rebond.
    
    Captifs du pouce et de l’index de chacune de mes mains, ils tournoient comme les boutons d’un transistor sur lequel on recherche une station de radio.
    
    Ce que je cherche surtout, c’est marquer mon passage dans la libido de Muriel ; je guette les grimaces et variations de son regard pour l’amener – et la garder – sur le fil du rasoir entre plaisir et souffrance. J’y parviens.
    
    Les sourcils froncés, des éclairs dans les yeux, une respiration qui approche ...
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