1. Pour la bonne cause


    Datte: 05/09/2023, Catégories: fh, voisins, parking, collection, Oral 69, pénétratio, fdanus, délire, occasion, Auteur: Ian, Source: Revebebe

    Elle fait partie de ces femmes dont on sait si peu de la façon de les aborder que l’on finit par les ignorer totalement. Jusqu’au jour où un événement imprévu vient servir de prétexte à une conversation, à un rapprochement. Le débarrassage de son box entamé quelques jours plus tôt par son ivrogne de mari sera l’élément déclencheur d’une relation aussi furtive qu’improbable.
    
    Ce jour-là, je viens de garer la Smart dans le box qui jouxte celui du couple en instance de divorce et c’est elle, Muriel, qui est de corvée.
    
    Tri, emballage, classement vertical : le cauchemar qui précède un déménagement. Car les dés sont jetés, leur appartement est sous compromis de vente depuis peu. La séparation de corps est déjà actée.
    
    Muriel revient du travail, elle en porte encore la tenue : jupe noire, escarpins assortis. Elle a troqué son chemisier blanc pour un petit haut, blanc lui aussi, en Lycra, plus confortable pour la manutention qu’elle doit se coltiner.
    
    Elle n’a pas beaucoup de poitrine mais celle-ci est bien dessinée et mise en valeur par le satiné du tissu moulant les tétons, un peu style « bra », qui laisse son ventre plat à découvert.
    
    C’est l’atout « charme » de cette blonde plutôt sèche tant physiquement que comportementalement.
    
    Répondant à mon bonjour censé lui témoigner un minimum d’intérêt, elle déroule le film de sa vie dans une logorrhée que je souhaiterais interminable car elle me donne le temps de la détailler de la tête aux pieds. Ma compassion est réelle ...
    ... lorsqu’elle décrit les frasques du borracho. Sa souffrance doublée d’une profonde lassitude finit par lui faire couler les larmes. Je les sèche à l’aide d’un Kleenex tiré furtivement de ma sacoche. Je tamponne ses joues, ce qui nous rapproche inexorablement au point de sentir sa chaleur m’envahir, me provoquer.
    
    Dans une pulsion irraisonnée, je la saisis par la taille et la plaque à moi.
    
    Je devine la sidération qu’elle éprouve à sa respiration soudainement bloquée.
    
    Nos regards ne se croisent pas car elle blottit aussitôt sa tête dans le creux de mon épaule et se lâche, en sanglots.
    
    Les contractions de son ventre contre le mien déclenchent une petite mécanique alimentée de visions fantasques mêlées de désirs enfouis. Toutes les envies refoulées reviennent à ma mémoire, se bousculent au portillon.
    
    Comme ce jour d’été où elle est arrivée au « Domaine » sur son scooter, droite comme une fière cavalière, sa jupe soulevée par le vent laissant entrevoir une petite culotte blanche. Bandante, la scène ! Ses filles l’attendaient au pied de l’immeuble et en plaisantant l’une d’elles a lancé :
    
    — Au moins, elle est assortie à ton chemisier !
    
    Le tableau m’obsède, depuis je brûle d’envie d’aller voir derrière le rideau de coton blanc. Mais on n’y est pas encore.
    
    Dix minutes avant, on n’était que des voisins de palier, puis de box, et maintenant elle est dans mes bras.
    
    Tout en la réconfortant, je perçois un début d’érection… Et je ne suis pas le seul à le constater, ...
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