Catherine, la belle esseulée
Datte: 01/07/2019,
Catégories:
f,
h,
fh,
telnet,
amour,
volupté,
Masturbation
nopéné,
ecriv_f,
Auteur: Florane, Source: Revebebe
... inquisiteurs.
Deux doigts s’emparent de son antre brûlant et reviennent retrousser son bouton grossissant, tout en lui prodiguant de petites caresses circulaires. Ses doigts s’attardent à masser cette perle d’amour qui devient de plus en plus volumineuse.
Catherine gémit doucement. Ses vibrations retentissent dans l’oreille de son amant lointain. Ses doigts se font plus insistants sur son clitoris gonflé. Son souffle est court, ses lèvres tremblent et ses gémissements résonnent dans la pièce comme l’écho dans les montagnes.
Elle sent monter ce plaisir intense et torture encore plus son bourgeon d’amour. Ses râles deviennent plus sauvages et pourtant si doux à l’oreille de son mari. Elle atteint un orgasme foudroyant. Son souffle court lui assèche les lèvres et c’est avec un érotisme étonnant qu’elle les mouille avec sa langue.
Les gémissements de Catherine ne résonnent plus dans la pièce, seul son souffle est encore audible.
Reprenant ses esprits, elle échange de petits mots d’amour avec son amoureux.
— Moi aussi je t’aime, Chéri ! J’aimerais tant être dans tes bras.
Elle s’aperçoit que la voix de son mari est chaude, que son souffle est profond et lent.
— Mon amour, est-ce que… Euh… est-ce que tu t’es caressé aussi ? Oh… tu m’as attendu ! Je t’aime.
Catherine, à son tour, met ses gestes en paroles. Elle trouve la situation un peu difficile, mais son amour pour son mari dépasse toutes les limites de sa gêne.
— Chéri, à ton tour, tu vas sentir ...
... mon corps prendre possession du tien. À ton tour, tu vas deviner mon souffle, ma bouche et ma langue t’enjôler. À ton tour, tu te laisseras aller intensément pour que j’en sente toutes les vibrations.
La bien-aimée se surprend à dire de tels mots, mais son désir est plus fort que sa raison. Elle s’apprête à caresser son partenaire auditif et ferme les yeux pour mieux l’entendre soupirer, pour mieux l’entendre gémir.
— Chéri, je veux que tu sentes ma bouche dans ton cou. Oui, mon souffle est chaud et mes lèvres brûlantes. Ma langue remonte ton cou jusqu’à tes lèvres que j’embrasse doucement, avec retenue car j’ai tellement envie de les dévorer. Tu veux que je les dévore ? Je les mords avec gourmandise, et ma bouche prend possession de la tienne, ma langue s’introduit sensuellement et fougueusement. Moi aussi, j’aime t’embrasser. Laissons-nous bercer encore un peu dans ce flot de volupté… Continuons nos baisers intenses pendant qu’une de mes mains court sur ton torse pour toucher ton mamelon durci. Je l’effleure, le caresse du bout des doigts. Ma bouche quitte la tienne, mes lèvres t’embrassent dans le cou, mes dents te mordillent les épaules et ma bouche parvient à ton autre mamelon. Tu sens ma langue le caresser ? Je sais que tu aimes chéri… Puis, mes doigts glissent sur ta peau. Je veux que tu les sentes t’effleurer, tout comme tu sens encore ma bouche caresser ton mamelon, puis l’autre. Mes doigts parviennent sur ta cuisse dont je caresse l’intérieur en remontant vers ...