Catherine, la belle esseulée
Datte: 01/07/2019,
Catégories:
f,
h,
fh,
telnet,
amour,
volupté,
Masturbation
nopéné,
ecriv_f,
Auteur: Florane, Source: Revebebe
... ses mots. C’est la première fois que ses mains remplaceront celles de son mari, non pas qu’elle n’ait jamais eu de plaisir solitaire, mais que ses mains deviennent un intermédiaire entre les paroles de son mari et son propre corps, c’est la toute première fois. Après quelques échanges, elle redevient la douce amoureuse.
Absorbée par les paroles de son mari, elle immobilise le combiné entre son oreille et son épaule pour mieux laisser aller ses mains. Elle ferme les yeux, écoute et se laisse aller à de petits murmures jouissifs. Dans un abandon total, elle cajole à nouveau sa poitrine. Ses caresses sont plus fermes que tout à l’heure. Elle masse ses seins, les comprime, puis, de sa salive, mouille ses pouces et index pour mieux pincer et étirer les mamelons tendus. Est-ce ce que lui dicte son mari ? Ou la pulsion devenue trop grande la pousse-t-elle à agir plus fermement ? Quoi qu’il en soit, Catherine partage ses désirs ardents avec ceux de son amant lointain.
Ses mains descendent le long de son corps pour retrousser délicatement sa robe, dégageant ainsi ses longues jambes qu’elle écarte légèrement. Elle murmure des sons, sourit, puis se caresse l’intérieur des cuisses en remontant vers sa petite culotte. Ses doigts frôlent doucement sa vulve enveloppée, puis ses index s’introduisent sous le tissu en avançant vers ses lèvres presque lisses. On l’entend murmurer : « Je t’aime. »
Ses doigts avancent toujours plus loin, jusqu’à écarter ses grandes lèvres et palper ...
... la sensibilité de son intérieur. Gênée par le tissu, Catherine agrippe sa culotte de chaque côté de ses hanches, soulève les fesses et la fait glisser le long de ses cuisses pour en libérer tout à tour ses jambes et pour la jeter par terre.
Ainsi dénudée, elle aimerait tant que la bouche de son homme embrasse ses parties intimes. Ce serait bon de sentir le bout de sa langue s’immiscer dans les plis de sa petite chatte blonde, dorloter l’entrée de son vagin, stimuler son petit bourgeon d’amour et le faire éclater. Mais il n’en est rien, sa voix est l’unique présence dont elle dispose.
Catherine se réinstalle, une jambe appuyée contre le dossier du sofa et l’autre totalement écartée. Ses mains flattant son pubis, elle lui dit :
— Chéri, caresse-moi de tes paroles, enivre-moi encore de tes mots.
Ses longs doigts effleurent sa vulve, sa respiration devient profonde, sa poitrine se gonfle. Elle insère un doigt entre ses grandes lèvres, elle se caresse aussi doucement que la langue de son mari le ferait. Elle lui murmure même qu’elle aime ce qu’il lui fait !
Puis, elle dégage son clitoris rosé pour l’exposer, et de l’autre main caresse l’orée de son vagin. Ses gestes sont sensuels et gracieux, sa voix est chaude et mélodieuse à la fois.
Son majeur lubrifié touche à peine sa perle sensible, mais juste assez pour en sentir les vibrations dans son entrejambe. Son haleine est chaude, son visage prend des couleurs plus rosées et ses doigts deviennent un peu plus ...