1. Catherine, la belle esseulée


    Datte: 01/07/2019, Catégories: f, h, fh, telnet, amour, volupté, Masturbation nopéné, ecriv_f, Auteur: Florane, Source: Revebebe

    Catherine, la belle esseulée
    
    Par une belle journée ensoleillée, Catherine, bien allongée sur le sofa, prend plaisir à lire un bouquin. Le soleil plombe au travers des fins rideaux du salon, caressant sa peau lisse et soyeuse. Sa longue chevelure, sous ces rayons, revêt une couleur dorée, tandis que sa robe bleue, légèrement garnie de fleurs, nous donne presque à penser que celles-ci dégagent un parfum délicat qui embaume la pièce.
    
    Catherine tient son livre d’une main pendant que l’autre glisse sur son cou. Ses doigts longs et fins flirtent avec sa peau, descendant jusqu’à sa poitrine, pour ensuite remonter à ses lèvres, qu’elle effleure, qu’elle caresse.
    
    Puis, elle dépose son livre sur son cœur en le tenant fermement, prend une grande respiration et ferme les yeux. Laisse-t-elle vagabonder des idées émanant de sa lecture ?
    
    Après un court moment, une de ses mains glisse le long de son corps, libérant un pan de sa robe, dégageant ainsi une jambe superbe. Elle ferme les yeux et ses doigts parcourent lentement l’intérieur de sa cuisse, glissent sur la dentelle de sa culotte et frôlent doucement ses chairs tendres par-dessus le tissu bleu de sa lingerie.
    
    Sa tête bascule vers l’arrière, sa poitrine se gonfle et son corps frémit à chaque toucher. Mais qu’est-ce qui la rend si voluptueuse, si sensuelle ?
    
    Soudain, la sonnerie du téléphone se fait entendre. Elle se lève et décroche le combiné.
    
    — Allô ! Bonjour mon amour, comment vas-tu ? Tu me manques ...
    ... tellement.
    
    La belle Catherine, dont le mari est militaire et absent du pays, est heureuse de pouvoir entendre la voix de son bien-aimé, ce dernier étant absent depuis trois mois déjà.
    
    — Oui, je sais, encore un mois. Si tu savais à quel point j’ai envie d’être avec toi, à l’instant présent. Si tu savais le désir qui me dévore…
    
    Tout en continuant la conversation, Catherine s’étend de nouveau sur le sofa. La lumière et l’amour illuminent son corps élancé. Elle rit, elle pleure, elle voudrait tellement qu’il soit là. C’est la première fois qu’elle est séparée de lui aussi longtemps. Puis, sa voix se fait plus douce, plus câline. On entend le désir, on sent son parfum dans la pièce. Les mots deviennent doux et s’entremêlent de murmures et de sons vibrants.
    
    Tenant le combiné d’une main, son autre main descend sur l’encolure de sa robe pour en défaire quelques boutons. Ses doigts s’introduisent doucement sous les rebords des bonnets souples. Elle frémit en murmurant quelques mots.
    
    Après quelques secondes, elle abaisse les bonnets pour libérer ses seins. Elle les caresse doucement tout en écoutant la voix de son mari. Ses doigts saisissent ses mamelons, les pincent en les étirant délicatement. Puis, dans un grand soupir, elle dépose sa main subitement sur sa vulve voilée et resserre fortement les cuisses.
    
    — Je n’en peux plus, Max ! Arrête de me parler ainsi, sinon… Oui, exactement, je vais succomber, là, sur le champ ! Quoi ? Tu aimerais ?
    
    Une certaine gêne se remarque dans ...
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