Qui aime bien châtie bien
Datte: 01/07/2019,
Catégories:
ffh,
hbi,
anniversai,
hsoumis,
Oral
pénétratio,
fsodo,
hgode,
hsodo,
sm,
yeuxbandés,
confession,
Auteur: Viona, Source: Revebebe
... laçage devant et derrière, lui donnant une taille de guêpe et surtout servant de rehausseur à ses seins nus. Je savais qu’elle s’était fait refaire la poitrine et je dois bien reconnaître qu’elle est magnifique. Et pour compléter le tout, une mini-jupe hyper moulante et, j’imagine, rien dessous. Ah, il faut ajouter une sorte de badine dont elle a utilisé un côté pour tenir le menton de Pascal.
— Déshabille-toi, ordonne-t-elle à mon mari.
Pascal jette un regard dans ma direction, mais Laure lui assène un coup avec la badine.
— Obéis. Je t’ai déjà dit que « Madame » m’a donné carte blanche.
Il s’exécute.
— Plus lentement.
La cravate, la chemise et petit à petit tout le reste tombe à terre. Il est nu devant Laure.
Cela fait une éternité que je n’ai plus vraiment regardé mon mari. Je le redécouvre. Il est bien fait, musclé mais longiligne. Il faut dire qu’en tant que prof de gym, il a l’occasion de s’entretenir. Il dégage une virilité saisissante, même dans les conditions actuelles et pourrait sûrement en remontrer à ces mannequins ridicules que la pub nous balance.
— Les bras derrière le dos.
Laure farfouille dans un sac à côté d’elle et en sort des objets qu’elle pose, mais son corps m’empêche de voir. Pourtant je vois qu’elle manipule les tétons de Pascal pour y fixer des pinces. Pas un cri ne sort de la bouche de son soumis et pourtant elle n’est pas délicate. Puis, je la vois se diriger vers le sexe et un long moment s’agiter autour, comme si ...
... elle cherchait à fixer quelque chose.
— Oh, mais ta verge est collante. Tu sais pourtant que je te veux « frais » pour me voir.
Et elle lui assène un coup de sa cravache sur les fesses.
— Mais, je ne savais… Anne et moi avons…
— Silence !
Et elle le frappe à nouveau. Les coups ne sont pas bien forts. Je pense que c’est surtout le geste qui compte, l’acceptation du soumis à sa maîtresse.
— C’est vrai ? Vous avez baisé avant de rentrer ? me demande Laure.
— Oui, juste au bas de l’immeuble.
— A-t-il été puissant, endurant ? A-t-il cherché à te satisfaire et ne pas prendre son plaisir en égoïste ? Son foutre a été assez abondant ?
— Oui, c’était très bien. En appui contre un arbre, il m’a prise en levrette. Je lui ai même offert mon anus.
— Parfait. Et il a joui en toi ?
— Oui, bien sûr.
— Et tu ne t’es pas lavée ?
— Non, nous sommes venus directement.
— Très bien, nous verrons plus tard.
Et elle commande à Pascal :
— Penche-toi. Ouvre ton cul.
Je vois qu’elle fait couler un liquide dans le sillon, et aussitôt manifestement elle introduit ses doigts ou un objet dans le cul de mon mari.
— Va te montrer à Madame.
Jusqu’à maintenant les quelques pas qui me séparaient du couple, créaient une sorte de frontière. Ce n’était pas vraiment mon amie de jeunesse, Laure. Surtout ce n’était pas mon mari, juste une image, un sosie.
Mais le sosie avance vers moi. Quelques pas. Je cherche ses yeux, mais il a la tête droite, semblant fixer le mur. Le soumis ...