1. Qui aime bien châtie bien


    Datte: 01/07/2019, Catégories: ffh, hbi, anniversai, hsoumis, Oral pénétratio, fsodo, hgode, hsodo, sm, yeuxbandés, confession, Auteur: Viona, Source: Revebebe

    ... me pousse dans le jardin, à l’abri des arbres, soulève ma jupe et me fait une minette bien agréable. Sans attendre que ma jouissance arrive, il me tourne contre un tronc et sans débander m’enfile d’un coup sec. Ce n’était pas mon programme, mais comment refuser cet hommage.
    
    Il me besogne, alors que des voisins passent, heureusement sans nous voir. C’est bon, sa queue semble dure et infatigable, bite de bûcheron canadien. Je me cambre au mieux pour bien le sentir et lui donner l’impression d’une chatte de jeune pucelle. Il ahane de ses efforts. Sa queue sort de ma chatte avant de replonger plus profond. Un mouvement de sa part, une cambrure plus prononcée, toujours est-il qu’il m’encule sans prévenir. Il est autant surpris que moi, mais ni l’un ni l’autre ne boudons notre plaisir. Sa jouissance arrive sans prévenir et je reçois des giclées de sperme bien chaudes et abondantes qui déclenchent ma propre jouissance.
    
    Le temps de nous rhabiller, monter les dix étages par l’ascenseur et nous voilà chez nous.
    
    — Je vais prendre une douche avant d’aller au lit. Tu veux passer la première ? me demande mon toujours attentionné de mari.
    — Non, merci. Mais avant, je voudrais que tu passes dans notre chambre, ton cadeau d’anniversaire t’attend.
    — Mon cadeau ? C’est vrai, tu ne m’as encore rien donné. Que de mystère ! Quel cadeau as-tu caché dans notre chambre ? Ça y est, j’ai trouvé, coquine, un sextoy, une tenue avec laquelle tu vas me séduire, une position nouvelle ?
    
    Bien ...
    ... sûr, je ne réponds pas. Je ne fais qu’ouvrir la porte et me déplacer pour lui céder le passage.
    
    Une ombre nous attend confortablement installée dans un fauteuil.
    
    — C’est à cette heure que tu rentres ?
    
    Pascal sursaute. Il met un instant pour comprendre et pour reconnaître la personne, totalement étrangère à notre chambre.
    
    — Laure ? Laure c’est toi ? Mais enfin… Que fais-tu ici ?
    
    Il est totalement désemparé. Mais Laure se lève. Elle se place en face de lui et lui soulevant le menton avec une tige noire, lui dit.
    
    — Maîtresse. Maîtresse Laurella.
    
    Mais il ne répond pas et tournant le visage vers moi :
    
    — Anne. Qu’est-ce qui se passe ? Comment… tu sais… Donc tu sais…
    — C’est ton cadeau d’anniversaire, Pascal. Profites-en, lui dis-je alors que je vais m’asseoir sur le lit.
    
    Mais la voix de Laure retentit plus fort.
    
    — Madame, tu parles à Madame. Ici il n’y a que Maîtresse Laurella et Madame. Répète après moi. Maîtresse.
    — Maîtresse…
    — Madame.
    — Madame…
    — Parfait. Tu as beaucoup de chance. Ce soir, Madame te confie à moi et je peux faire tout de toi. Tu dois m’obéir. Sans un mot. Sans un cri. Tu connais les règles. Alors…
    — Oui Maîtresse. Merci Madame. J’obéis. Pas un mot. Pas un cri.
    
    Laure est maintenant un peu plus dans la lumière. Je la découvre. J’ai toujours connu une Laure, élégante, bourgeoise, même qui se la pète un peu. Mais là, c’est « Cruella ». Toute en noir. Un haut avec épaulettes et mi-manches, avec laçage devant. Un serre-taille avec ...
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