1. Le fantôme de mon cœur


    Datte: 30/06/2019, Catégories: f, fh, Oral pénétratio, fsodo, jeu, attache, fouetfesse, délire, merveilleu, fantastiq, amourpass, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... ?
    — Heu, oui, il y a des mômes qui y jouent régulièrement dans la cour intérieure. Mais quel rapport ?
    — Eh bien, au basket, cela signifie qu’un temps mort est demandé ; une interruption temporaire du jeu, si vous préférez. Et je demande un temps mort.
    
    Même si, une fois de plus, je ne le vois pas, je commence à ressentir ses émotions. Là, il est passablement surpris.
    
    — Et… Heu… Que voulez-vous ?
    — J’ai une idée très précise de ce que vous comptez faire, et je ne suis effectivement pas contre une fessée érotique. Mais je vous le dis tout net, quoi qu’il m’en coûte : si vous tapez aussi fort qu’hier, il vous faudra attendre la prochaine élue.
    
    Il réfléchit quelques instants. Visiblement, il s’agit d’une éventualité à laquelle il n’avait pas songé.
    
    — C’est logique ; il est temps pour moi d’essayer de vivre à votre époque. Eh bien, dans ce cas, on va faire comme dans les vidéos qui traînent sur Internet…
    
    Là, c’est moi qui suis soufflée.
    
    — Vous connaissez Internet ?
    — Indirectement, vous vous en doutez bien : je regarde au-dessus des épaules… Mais je connais quand même le principe des mots-codes. « Jaune » quand la soumise approche des limites, « rouge » quand elle veut tout arrêter.
    — Si vous êtes disposé à respecter ces règles, je suis tout à fait partante.
    
    Au fond de moi, je suis terrifiée… Mais ce n’est pas de lui que j’ai peur, mais de moi. Et si j’avais tout bonnement ouvert la boîte de Pandore ? Mais en même temps, j’en crève d’envie. Je ne sais ...
    ... pas pourquoi, mais j’en crève véritablement.
    
    — C’est votre idée, Jennifer, et je serais ravi de m’y plier.
    — D’accord. Mais pour cela, il faudra d’abord que vous m’attrapiez…
    
    Pas bien certaine que le jeu soit bien équitable… Pour cause, lui, il me voit ; mais moi, je ne fais que le deviner. Et encore, pas toujours. J’ai beau essayer d’éviter les courants d’air froids, je me retrouve bien vite allongée, le cul à l’air, sur ses genoux.
    
    Une fois de plus, il me maintient les mains dans le dos pendant que son autre main se balade sur mes globes fessiers. Mais que fabrique-t-il ? Ça y est, je comprends… Il est en train de m’attacher les mains avec ce qui fut, il y a peu de temps encore, mon soutif. Soudainement, il a une seconde main de libre, qui s’insinue bien vite dans l’ouverture de mon chemisier à la rencontre de mes seins que plus rien ne protège et qu’il caresse avec douceur et légèreté. Quant à mon cul, il ne me frappe pas ; non, tout au contraire, il l’effleure, et c’est d’autant plus délicieux que ses doigts viennent de descendre jusqu’à mon antre plus que jamais détrempé.
    
    — Une dévergondée, disais-je, et ce n’est rien de le dire. Je vais être obligé de sévir…
    
    Des garçons et des filles, j’en ai connus un paquet, parfois même à trois ou quatre en même temps… Mais ce n’est pas pour autant que j’ai laissé qui que ce soit lever la main sur moi ! Et ceux qui s’y sont un jour risqués s’en souviennent sans doute encore…
    
    Et voilà que là, le plus simplement du ...
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