L'intervention de Nathalie
Datte: 30/06/2019,
Catégories:
fh,
2couples,
couplus,
vacances,
noculotte,
Oral
préservati,
pénétratio,
bourge,
Auteur: OlivierK, Source: Revebebe
... quand même, à la fin.
— Te voilà prête !
Je la conduis au salon. Nous sommes superbes et sans la moindre pudeur, fières de nos corps de femmes comblées mais qui veulent l’être encore et encore. Nos pachas sont vautrés dans mes fauteuils et sirotent mon cognac.
— Au boulot, les mecs, couchés côte à côte, et bandez ! Sinon, je vais en boîte avec Cathy.
— Voilà, voilà, on y va, mais faudrait voir à nous donner un coup de main, ou de lèvres, pour nous faire bander plus vite.
— Veux pas le savoir, comme dirait ton adjudant. Obéissez ou nous nous débrouillons toutes seules !
Démonstration : je taquine de la bouche les tétons de Catherine puis, à genoux, j’écarte de nouveau et de nouveau je lèche. Elle paraît aimer cela, il faudra y repenser quand nous serons en panne de messieurs. Ce qui n’est pas encore le cas, ils sont allongés, dressant vers le plafond leurs deux bites roses.
— Choisis, Cathy.
Elle chevauche Frédéric, sans doute pour punir son Julien ? Son Julien qui me sourit quand je m’empale. Et vogue la galère ! Que dis-je, la galère ? La frégate, la barque légère, la mouette sur les vagues…
— Je vais te laisser, Julien, je te rends à Catherine.
Il cesse de me pincer les seins et se résigne, avec un petit air malheureux qui me fait plaisir.
Je contourne le canapé.
— Catherine, laisse mon homme et va sur le tien.
Elle paraît hésiter. Je saisis les pointes de ses petits seins, je serre et je soulève :
— Je te dis de rejoindre Julien. Tu ...
... l’aimes et il t’aime, il me l’a dit.
Un mensonge de plus ou de moins… Elle obéit, prend place, se courbe pour chercher les lèvres de son bien-aimé. Baiser. Fin du film.
…
Enfin, non, pas encore ! Nous avons dormi fort chastement, chacune dans les bras de son amant habituel. Enfin, habituel pour moi, pour Catherine c’était du récent. Oh, de temps en temps, une main étrangère tâtonnait, caressait, des doigts se glissaient subrepticement, car nous étions très unis, déjà.
La baby-sitter a gardé les gosses pendant les quelques nuits qui suivirent. Fin août, la rentrée approchait, Catherine n’allait pas tarder à retrouver ses élèves. Les maitres-nageurs CRS ont été reçus à la mairie, le maire leur a dit merci, comme chaque année. Catherine avait griffé le dos de Frédéric, il en était tout faraud et aurait volontiers montré ses éraflures sur la plage, s’il avait fait plus chaud.
Julien a foutu le camp sans crier gare. Nous avions baisé avec beaucoup de douceur, lui et moi, la veille. C’est un tendre, ce gamin. Véhéments, les reproches de Catherine ! C’était de ma faute s’il était parti. D’ailleurs tout était de ma faute, j’avais tout cassé, tout sali.
Sa merveilleuse histoire d’amour finissait en effet en eau de boudin : tout ce sperme jeté dans les chiottes, de pleines capotes, quel génocide ! Inutile de tenter de lui faire comprendre que je lui avais rendu service. Mais sa petite déprime a cessé quand le soleil est revenu, début septembre. Il ne nous restait que ...