L'intervention de Nathalie
Datte: 30/06/2019,
Catégories:
fh,
2couples,
couplus,
vacances,
noculotte,
Oral
préservati,
pénétratio,
bourge,
Auteur: OlivierK, Source: Revebebe
Pour une fois le temps est plutôt beau et tout en surveillant les gosses, les miens et ceux de Catherine, je regarde Frédéric faire le joli coeur sur la plage, les pectoraux gonflés, la démarche conquérante, à l’affût de quelque accorte baigneuse qui ferait mine de se noyer. Il m’amuse. Je sais qu’une fois les enfants couchés, et ceux de Catherine rendus à leur mère peut-être enfin dépravée, mieux vaut tard que jamais, mieux vaut dard que jamais, ce beau mâle sera dans mon lit, et pas pour parler philosophie ou psychanalyse ! Une bête de sexe, comme il le dit de lui-même. Une excellente aventure de vacances, je suis comblée, si on voit ce que je veux dire…
Il a un jour de repos par semaine. Jeudi dernier j’ai mis les gosses au club de plage et nous sommes allés nous balader à pied dans la petite forêt qui permet d’atteindre la plage réservée aux naturistes.
— C’est là que j’aimerais bosser, m’a dit Frédéric.
Tu parles ! Il y avait quelques couples. La plage est immense. Deux gays, chacun d’eux la main sur la bite de l’autre, tendrement. Des couples. Une fille toute seule, au joli cul.
— Elle te ferait bien bander, celle-là, hein ? lui ai-je dit. Il a déliré à propos de quille s’il était amené à la sauver de la noyade, et de slip en guise de voile s’il faisait la planche. Nous sommes donc allés dans les dunes du haut de la plage, dans un petit creux. Un voyeur s’est rincé l’oeil. Pauvre type ! Le gamin que drague Catherine ne fait sûrement rien l’après-midi, je ...
... nous verrais bien là tous les quatre, un de ces jours. J’aimerais y voir Frédéric baiser Catherine. Et me payer ce gamin.
Mon petit mari ne reviendra qu’à la fin du mois prochain. Le pauvre chéri est débordé. Je n’aurai pas grand chose à lui raconter, sauf si… Il n’y a que le premier faux-pas qui compte et si tout se passe comme je le prévois, Catherine, cette sainte Nitouche qui tente enfin de s’envoyer en l’air, Catherine sera pour lui, qui en a envie depuis si longtemps. Joli cadeau de fin de vacances ! Frédéric aura retrouvé sa matraque pour taper sur les grévistes. Pour moi, c’est un tout autre gourdin qu’il utilise.
Le petit Lucas est tout pensif.
— Tu crois qu’elle va venir nous rejoindre, maman ?
— On verra bien, j’en sais rien, moi. Va un peu dans l’eau !
Ces gosses qui donnent l’impression d’en comprendre toujours un peu trop ! Je les ramène chez moi, il se fait tard. Je les mets devant la télé.
Sur les rotules, la Catherine, quand elle vient enfin, vers les huit heures du soir ! Ravagée, le visage hagard, les jambes molles ! Titubante !
— Assois-toi, ma vieille, pose-toi sur ce canapé ! Et raconte !
Elle regarde les enfants et met son index devant ses lèvres gonflées d’avoir trop servi. Puis elle me sourit et, à mi-voix :
— Si tu savais !
Non, mais quelle gourde, celle-là ! Bien sûr, que je sais ! Bon, il l’a baisée, et alors ? Ce sera mon tour dans quelque temps, pendant qu’elle comparera en se faisant sauter par Frédéric. Il était temps ...