1. L'intervention de Nathalie


    Datte: 30/06/2019, Catégories: fh, 2couples, couplus, vacances, noculotte, Oral préservati, pénétratio, bourge, Auteur: OlivierK, Source: Revebebe

    ... Frédéric s’est éclipsé vers les toilettes. La verge de Julien rétrécit à vue de lèvres. Je l’abandonne pour m’asseoir sur le canapé, tout contre Catherine qui cache son visage dans mon cou en sanglotant et en me traitant de belle salope. Ça lui passera vite. Eh oui, la chair est faible et l’on peut très bien se croire amoureuse et sucer une autre bite que celle de son chéri pendant que ce même chéri se fait sucer par une amie… Ainsi va la vie.
    
    — Tu es une garce, Nathalie. Et toi, Julien, tu n’es qu’un pauvre type. Moi qui t’aimais déjà comme une folle !
    — Allons, allons, Catherine, rien de tout cela n’est vraiment grave, et tu le sais bien. Tu as un peu joui, tu as fait jouir Freddy, voilà tout ! Et je suis sûre qu’au fond ça t’excitait de savoir qu’au même moment je pompais ton compagnon de vacances en lui palpant les couilles.
    — Non !
    — Non ?
    — …Enfin, peut-être. Je suis une salope, moi aussi. Une femme méprisable.
    — Pas du tout, et tu le sais bien ! Un peu trop sentimentale, voilà tout. Ton petit chéri avait envie de moi depuis que vous êtes arrivés.
    — Tu as fait ce qu’il fallait !
    — Tiens donc, tu l’as compris et tu n’as rien empêché, jusqu’à ce qu’il soit trop tard ! D’ailleurs, il a encore envie de moi. Et toi, tu as envie de Frédéric. Aucun de nous n’est vraiment satisfait, et moi moins que vous autres ! Le broute-minou et la sucette, c’est bien mais ça ne vaut pas la vraie baise, il ne faut pas avoir peur des mots : je meurs d’envie de baiser avec Julien ...
    ... pendant que tu baiseras avec Frédéric.
    — Pas question !
    — Pas question ? Sois franche avec toi-même, pour une fois. Si tu crois que je ne sais pas qu’il t’arrive d’avoir envie d’être prise par des inconnus, et même parfois un peu violée… Comme nous toutes, tout simplement.
    — J’en ai honte !
    — Il te faut l’alibi de l’amour. Deviens un peu adulte ! Laisse-toi aller.
    
    Le petit chéri était silencieux et penaud pendant notre bavardage. Il ne savait pas où déposer son préservatif usagé. Il a fini par voir le cendrier sur la table basse. Je tapote le cuir du canapé, de l’autre côté des cuisses de Catherine, pour qu’il vienne y poser ses fesses dont j’ai apprécié la fermeté. À lui de consoler sa belle. Un peu de tendresse ne nuit pas. Quand il l’embrassera, il trouvera dans sa bouche le goût de framboise du préservatif de Frédéric. Mais je me ravise.
    
    — Excusez-moi, les tourtereaux, installez-vous de l’autre côté.
    
    Ils m’obéissent, hagards. En un clin d’oeil je déplie le canapé, je serai mieux allongée de tout mon long. Voilà Frédéric. Soigneux, il ramasse son pantalon et le pose sur un fauteuil. Au passage, il en a extrait un préservatif, non, deux car il tend le second à Julien, qui l’accepte. Catherine ne proteste pas, c’est bon signe.
    
    Couché contre moi, Frédéric suce mes seins, puis commence à me lécher la chatte. Mon regard invite alors Julien à s’intéresser à son tour à mes seins. Qu’il est doux ! Il ne faut pas que Catherine se morfonde, délaissée. Quelques tapes sur ...
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