1. Repas charnel


    Datte: 25/06/2019, Catégories: fh, fplusag, intermast, Humour Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... débarrassé de ma veste, m’invita à prendre place du côté de la porte, tandis qu’elle s’installait à ma gauche face à la cheminée.
    
    — Mon jeune ami, vous m’excuserez, mais je suis une exécrable cuisinière !
    — Ça pourra pas être pire que l’cuistot qu’on avait dans les Aurès ! Pi j’suis sûr que vous vous mésestimez, Madame la Comtesse.
    — Quel délicat jeune homme vous faites Armand, me susurra-t-elle alors qu’elle emplissait nos verres. Nous avons toujours eu une cuisinière, mais depuis la mort du Comte… Surtout depuis que notre notaire m’a appris que mon cher Albéric n’avait laissé que des dettes, j’ai dû…
    
    Je pris sa main gauche dans la mienne.
    
    — Cela n’a aucune importance, Madame la Comtesse. Ne vous en faites pas pour ça.
    
    Je portai sa main à mes lèvres et la baisai tendrement. Elle m’échappa. D’un geste très doux, elle effleura ma joue, taquina mon lobe gauche entre pouce et index. Pas possible, les sensations que sa main légère savaient créer. Ce simple toucher d’oreille me donnait la chair de poule, me frissonnait l’épiderme. Ses doigts passèrent derrière ma nuque.
    
    Elle m’attira vers…
    
    Son visage s’approcha de…
    
    Nos lèvres se rejoignirent.
    
    Pas de pelle façon Comtesse.
    
    Doux baiser de lèvres goûtées, frôlantes, mouillantes.
    
    Fermer les yeux, ses doigts sur ma nuque ; mes mains sur son visage, mes gros doigts gourds dans ses cheveux. Lèvres entrouvertes, langue contre langue. Lèvres contre langue.
    
    Sa main libre, sous la table, sur mon ...
    ... pantalon, remontait doucement le long de ma cuisse. À son approche, mes jambes s’écartèrent, donnant libre accès à ma bite qui se congestionnait de plus en plus dans son étroit réceptacle. Elle ne pouvait la toucher qu’à travers mon futal. Mais quel toucher ! Elle entreprit un massage aussi délicat que son baiser. Elle me caressait du bout des doigts, du bout des ongles comme elle m’embrassait du bout des lèvres, du bout de la langue.
    
    Quand sa langue pénétrait ma bouche, que ses lèvres pressaient moelleusement les miennes, ses longs doigts aristocratiques s’enfonçaient sous le plaid, repoussant mes boules contre mes fesses.
    
    Quand sa langue mignardait mes lèvres, quand ses lèvres suçotaient ma langue, du haut de sa paume, elle caressait ma queue qui n’en pouvait plus.
    
    Ma main droite, délaissant son visage, voulut lui rendre ses caresses mais ma position était mal aisée. À moins de me comporter comme une brute, de maltraiter sa robe, de renverser la table, je n’avais d’autre possibilité que de m’en prendre à son dos nu. Ce que je fis.
    
    La douceur, l’élasticité de sa peau, malgré ce que j’avais déjà vu et touché, me surprit encore. Pour son âge, Madame la Comtesse était vraiment bien conservée. Peut-être était-ce le sang bleu qui coulait dans ses veines ! Dans cet espace libre, ma main pouvait s’exprimer. D’abord par des câlineries parfois affleurantes parfois plus appuyées sur chaque partie dénudée; aussi par des survols en rase-mottes et des atterrissages surprise en des ...
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