1. La découverte


    Datte: 04/03/2018, Catégories: fh, voyage, BDSM / Fétichisme massage, Oral pénétratio, uro, coupfoudr, attirgros, Auteur: Rubens, Source: Revebebe

    ... démanger, j’ai mis cela sur le compte de Nathalie, de l’effet qu’elle me faisait, de sa tenue toujours aussi affriolante. Je ne savais pas encore que le Redbull contenait de la caféine en grande quantité mais aussi de la taurine une hormone aphrodisiaque. La croisière se terminait, et à notre débarquement nous avons eu droit à un feu d’artifice avec le palais royal illuminé en fond.
    
    Il était presque minuit quand nous sommes repartis à pied vers notre hôtel, comme de jeunes collégiens, profitant de la moindre zone d’ombre pour s’embrasser à pleine bouche, ou pour se lancer dans une caresse plus appuyée, mais que nous rompions à chaque fois, se sauvant en riant très fort, mais en n’espérant qu’une seule chose, que l’autre nous rattrape bien vite pour la zone d’ombre suivante.
    
    Nous étions presque arrivés à notre hôtel quand pour la ixième fois je rattrapais Nathalie, l’embrassai goulûment et glissai ma main sous sa jupe. Cette fois au lieu de serrer les jambes et de s’enfuir en courant, elle a, au contraire, bien écarté les jambes laissant ma main libre de lui caresser l’entrejambe. L’instant d’après ma main était inondé d’un liquide chaud.
    
    — Mais tu fais pipi ! dis-je en m’exclamant.
    — J’ai trop bu ce soir, et à force de rire je n’ai pas pu me retenir, répondit-elle dans un éclat de rire un peu gêné, tandis qu’une longue rigole de pipi inondait le trottoir.
    
    Je partais dans un fou rire et lui annonçais.
    
    — Tu dois me donner ta culotte maintenant qu’elle est ...
    ... toute trempée.
    — Oh non pas ça !
    — Pourquoi, tu comptes montrer tes fesses à quelqu’un d’autre que moi ce soir ?
    — Non ! Mais moi je vais savoir que je n’ai pas de culotte et cela va me gêner.
    — Tu seras plus gênée par ta culotte mouillée, surtout que nous sommes à moins de deux cents mètres de l’hôtel et qu’il n’y a quasiment personne dans la rue.
    
    Nathalie, devenue soudain beaucoup plus pudique, se cacha derrière un arbre pour baisser sa culotte et l’ôter. Elle me la tendit, ses yeux m’imploraient de faire disparaître l’arme du crime. Je la mis dans ma poche. Et nous sommes repartis d’un bon pas vers notre hôtel lui enlaçant la taille amoureusement. Quand nous sommes rentrés dans le hall de l’hôtel et malgré l’heure tardive trois piliers de bars sirotaient encore un whisky. Nous avons traversé le hall rapidement et alors que la porte de l’ascenseur s’ouvrait j’ai offert aux trois alcooliques du bar une vision qu’ils ne sont pas prêts d’oublier. Dans un geste volontairement ample j’ai soulevé la jupe de Nathalie montrant aux inconnus du bar une vue imprenable sur le généreux derrière de Nathalie décoré de ses bas et de son porte-jarretelles.
    
    Le temps que les portes se ferment les yeux de Nathalie ne m’envoyaient que des reproches. Malgré cela, à l’instant où l’ascenseur démarrait pour notre étage, ses mains plongèrent vers ma ceinture et elle dégrafa rapidement mon pantalon libérant mon sexe bandé. Elle me tourna le dos et je vis dans la glace de l’impatience dans ses ...
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