La découverte
Datte: 04/03/2018,
Catégories:
fh,
voyage,
BDSM / Fétichisme
massage,
Oral
pénétratio,
uro,
coupfoudr,
attirgros,
Auteur: Rubens, Source: Revebebe
... yeux. Je l’ai rapidement prise par derrière me cramponnant à ses deux globes jumeaux que j’avais extraits de leur écrin de satin. Cette fois mon pénis à eu plus de mal à trouver le chemin, Nathalie serrai les jambes. Cependant au moment où mon pénis se présentait devant son ouverture elle fléchit les jambes m’accueillant d’une seule poussée au plus profond d’elle dans un grand « slurpp…, » témoin de l’inondation de son vagin.
« Ouahh… Quelle femme fontaine ! pensais-je heureux. »
Je l’écrasai contre la paroi de l’ascenseur, la labourant violemment, quand l’ascenseur s’immobilisa et que la porte s’ouvrit. Heureusement à cette heure tardive personne n’était dans le couloir, car sans prendre le temps de nous rhabiller nous sommes rentrés dans notre chambre.
À peine la porte fermée que déjà j’arrachai plus que je n’enlevai le chemisier de Nathalie, je me débarrassai de mon pantalon et de mes chaussures, et poussai Nathalie la tête sur le lit et le derrière en l’air. Je soulevai sa jupe, et pendant une seconde j’admirai la rotondité de son généreux derrière décoré par son porte-jarretelles et ses bas. Pendant cette attente Nathalie tourna la tête vers moi avec un regard interrogateur, et s’est à cet instant que je replongeais au tréfonds de son vagin. Le coït fut rapide, brutal, animal, Nathalie hurlait son plaisir pendant que je la labourais vigoureusement. Pour ne pas être désarçonné, je la tenais fermement par les hanches. De temps à autre je relevais sa jupe pour me ...
... permettre de profiter de la vision de ses fesses rebondies. Mon dieu qu’elle est belle, fut la dernière chose à laquelle j’ai pensé avant d’éclater, inondant à nouveau son vagin.
Nous avions joui ; pourtant une tension palpable se faisait toujours sentir. Pas de bien-être, comme ce matin. Non, nous étions encore à cran. Nous avons repris un bain chaud espérant que la chaleur nous relaxerait. Peine perdue ! Nous avons donc lu un peu avant de tenter de dormir. Chacun notre tour nous nous retournions, sans pouvoir trouver le sommeil. La caféine et la taurine exerçaient leur effet. En désespoir de cause nous avons tenté de refaire une fois l’amour, mais cela fut purement mécanique, les sentiments et l’envie n’y étaient pas. Cette fin de soirée fut un fiasco qu’il fallu bien vite oublier.
Après une nuit très agitée, et au sommeil peu réparateur, il nous fut difficile d’émerger avant dix heures dimanche matin. Le garçon d’étage nous a apporté le petit déjeuner, mais il fut quelque peu déçu car aujourd’hui nous avions pris la peine de nous habiller avant de l’appeler.
En pianotant sur Internet via le site Voyages-SNCF, j’ai réussi à trouver un guide parlant français pour nous faire découvrir le château royal. Le rendez-vous était à quatorze heures dans le hall de l’hôtel. Cela nous laissait un peu de temps pour flâner. Nous sommes retournés place Venceslas et à notre surprise toutes les boutiques étaient ouvertes ce dimanche matin. En France il y a un café toutes les trois ...