1. La découverte


    Datte: 04/03/2018, Catégories: fh, voyage, BDSM / Fétichisme massage, Oral pénétratio, uro, coupfoudr, attirgros, Auteur: Rubens, Source: Revebebe

    Ed et Nathalie se sont connus sur un vol qui les menait à Prague pour affaires. Tout de suite ils ont sympathisé et après un repas un peu arrosé Nathalie a offert sa lourde poitrine à Ed.
    
    … Je me suis levé pour aller dans la salle de bain, et découvrant qu’il n’y avait pas de douche mais une grande baignoire, j’ai fait couler un bain chaud et parfumé. Le bain moussant avait la senteur du lotus et de la fleur d’oranger. Cela donnait l’impression d’avoir un bain parfumé à la boule de gomme d’acacia de notre enfance.
    
    Nathalie m’a rejoint dans la salle de bain et nous sommes entrés ensemble dans la baignoire. Après quelques temps de relaxation dans cette eau bien chaude et parfumée, j’ai saisi l’éponge et l’ai imprégnée de savon doux. D’un geste tendre je lui ai indiqué de se lever. J’ai commencé suavement mais méthodiquement à frotter chaque centimètre carré de la peau de Nathalie. J’ai commencé par la nuque, puis le dos, j’ai ensuite consciencieusement enduit de savon les grosses tétasses…
    
    — Oh oui… Continue…c’est trop bon, n’arrêtait pas de gémir Nathalie.
    
    Je continuais par les fesses rebondies, un passage par l’entrejambe provoqua une nouvelle litanie de gémissements plus extatiques les uns que les autres…
    
    — Oh oui ! Oui ! Oui ! Encore vas-y…, entrecoupés par une respiration haletante.
    
    Alors que je poursuivais par les jambes un incident diplomatique à failli se produire. En effet j’ai voulu poursuivre par les pieds avec mon éponge savonneuse, mais j’ignorai ...
    ... que l’on ne pouvait sous aucun prétexte approcher sa plante de pied, au risque d’une ruade incontrôlable.
    
    — Non ! Pas ça, hurla Nathalie avec une tentative désespérée de soustraire son pied aux chatouilles.
    
    Cela s’est terminé par un grand splash car, bien entendu, Nathalie a perdu l’équilibre et moi aussi. En contemplant l’étendue des dégâts, il y avait plus d’eau sur le sol que dans la baignoire, nous avons été pris d’un énorme fou rire. Le fou rire cessa presque aussi rapidement qu’il était apparu.
    
    — Embrasse-moi ! me dit-elle alors dans un souffle.
    
    Cette fois le baiser fut fougueux, presque violent, plus rien à voir avec les baisers tendres des instants d’avant. Nos langues se cherchaient, nos dents s’entrechoquaient, le désir montait plus animal, moins contrôlable.
    
    — Viens, maintenant ! ajouta-t-elle, d’une voix rauque presque qu’inaudible mais qui ne laissait place à aucune discussion. D’ailleurs je n’avais aucune envie de la contredire et c’est trempés et en courant que nous nous sommes jetés sur le lit.
    
    Nathalie s’est allongée sur le dos, remontant ses jambes pour les placer sur mes épaules. L’invitation était des plus explicites. Sans plus attendre j’ai approché ma pine de sa grotte secrète, et là, sans aucun guidage, elle s’est insérée dans son fourreau brûlant et détrempé de jus d’amour. Je la pénétrai jusqu’à la garde sans le moindre effort. Heureusement que j’avais déchargé juste auparavant car sinon je crois qu’à cet instant précis j’aurai lâché ...
«1234...15»