La découverte
Datte: 04/03/2018,
Catégories:
fh,
voyage,
BDSM / Fétichisme
massage,
Oral
pénétratio,
uro,
coupfoudr,
attirgros,
Auteur: Rubens, Source: Revebebe
... à mon habitude quand je suis à l’hôtel, j’ai pris des fruits et du fromage blanc, du café et quelques viennoiseries, Nathalie est restée plus traditionnelle avec son chocolat, elle a pris du pain qu’elle a généreusement recouvert de Nutella. Le garçon d’étage, malgré tout son style, semblait avoir de plus en plus de mal à décrocher son regard de l’opulente poitrine de Nathalie. Il est sorti en traînant un peu plus que nécessaire et il avait une proéminence dans son pantalon qui devait quelque peu le gêner.
Nous avions presque terminé notre repas quand, « accidentellement », de manière totalement volontaire, une fraise que je venais de tremper dans le fromage blanc m’a échappée et glissant sur son ventre rond s’est retrouvée juste sur le minou de Nathalie. J’ai placé nos deux plateaux sur le chariot et je suis derechef parti à la recherche de cette fraise aventureuse. Mon instinct de limier, et surtout la traînée de fromage blanc m’ont vite mis sur la piste. Je me suis fait un honneur de nettoyer toute trace de l’incident, léchant avec gourmandise l’objet du délit et n’hésitant pas à déborder largement.
Nathalie était hilare et aux anges, elle me tira la tête vers elle, m’embrassa tendrement, et me dit :
— Fais-moi l’amour tout simplement.
Nous nous sommes allongés, et doucement je l’ai pénétrée. Encore une fois mon sexe trouva son chemin dans un pot de miel onctueux et totalement détrempé. Je suis resté immobile quelques instant avant de débuter un lent ...
... va-et-vient paresseux. J’essayais de me repaître de chaque parcelle de son corps. Chaque contact avec sa fabuleuse poitrine déclenchait une poussée d’adrénaline et me faisait monter d’une marche vers mon plaisir. Je ne la quittais pas des yeux, observant avec intensité ses moindres réactions, m’enivrant de chacune des courbes de son visage. J’ai eu l’impression que nous avons fait l’amour pendant des heures tant nous avons voulu faire durer ce moment sublime. Tout était en tendresse, comme au ralenti, comme dans un rêve. J’ai fini par éjaculer dans son vagin, mais bizarrement je n’avais pas la même sensation de libération que d’habitude. Au contraire j’étais presque déçu d’avoir interrompu la communion de nos corps. Pourtant Nathalie semblait radieuse, elle était heureuse de mon plaisir et même si elle n’est pas parvenue à l’orgasme elle semblait repue de sensations.
Le peu d’heures de sommeil dont nous avions bénéficié, associé à nos multiples batifolages, fit que nous nous sommes assoupis l’un dans l’autre. Il était onze heures quand Nathalie, ankylosée par mon poids, remua. Nous nous sommes levés et avons fait un peu de toilette avant de s’inquiéter de notre retour.
Réussir à contacter Air France, en Tchéquie, un samedi de juillet vers midi, et espérer trouver quelqu’un qui comprenne la langue de Molière était une gageure. Pourtant, dans un anglais très approximatif, nous avons fini par faire comprendre à cette dame, au demeurant très agréable, que nous désirions échanger nos ...