La découverte
Datte: 04/03/2018,
Catégories:
fh,
voyage,
BDSM / Fétichisme
massage,
Oral
pénétratio,
uro,
coupfoudr,
attirgros,
Auteur: Rubens, Source: Revebebe
... épaules de manière à pouvoir passer mes bras sur le côté pour saisir ses seins lourds et en exacerber les tétons tout en continuant à lui taquiner le bouton d’amour avec la langue.
— Oui ! hurla Nathalie, pince mes tétons, tire-les, n’hésite pas… Oh oui…
J’obéissais sans hésiter, je lui malaxai les seins, brutalisai ses tétons et, bien sûr, continuai à titiller le clitoris. Le résultat de ce traitement ne se fit pas attendre, le bas-ventre de Nathalie semblait maintenant animé d’une vie propre, il montait et descendait régulièrement cherchant à devancer le contact avec ma langue. Dans un ultime spasme Nathalie jouit bruyamment.
— Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ouiiiiiiii, ouiiiiiiiiii…
Ce fut une longue plainte qui emplit toute la chambre. Les jambes tétanisées de Nathalie m’emprisonnaient la tête avec fermeté. Chaque réplique de son orgasme entraînait une pression supplémentaire. Quand le dernier soubresaut s’est éteint, d’un seul coup d’un seul tous les muscles de Nathalie se sont relâchés me libérant la tête.
Nathalie était totalement anéantie par son orgasme, je ne valais guère mieux, aussi nous nous sommes rapidement endormis dans les bras l’un de l’autre. Nous étions emboîtés l’un dans l’autre, mon bras ceinturant son corps était accroché à l’un de ses seins fabuleux.
Il devait être neuf heures le matin quand je me réveillai. Nathalie n’avait pas bougé elle dormait toujours tout contre moi. Je me levai ...
... discrètement sans la réveiller, et appelai la réception dans un mauvais anglais, pour qu’on nous monte les petits déjeuners. C’est en raccrochant que je pris conscience réellement de l’heure, neuf heures ! Merde mon avion est à dix heures, trop tard ! Je réveillai tendrement Nathalie pour lui demander l’heure de son avion.
— Huit heures, répondit-elle d’une voix encore empâtée.
— Dommage, cela fait déjà une heure qu’il est parti ! répliquais-je d’un ton sentencieux.
— Ce n’est pas possible, hurla Nathalie totalement réveillée, c’est la catastrophe…
— Oui, acquiesçais-je, j’ai aussi raté le mien
— Mais tu ne rends pas compte !
— Oh si très bien, nous allons être coincés ici pour le week-end, et nous allons devoir refaire l’amour pendant deux jours pour passer le temps, m’esclaffais-je.
C’est à ce moment que le service d’étage nous amena le petit déjeuner. Ce qui est bien dans les hôtels à l’étranger, c’est que le petit déjeuner est un vrai repas. Sur le chariot s’entassait pêle-mêle des viennoiseries, toutes sortes de pains, des fruits, des laitages, des boissons chaudes ou froides, des œufs, du bacon et toute sortes de charcuteries.
— Prenons des forces, nous aviserons ensuite, proposais-je.
Cela paraissait un peu surréaliste, Nathalie et moi nus dans le lit pendant que le loufiat plaçait le plateau sur nos genoux et nous proposait de beurrer nos tartines et de nous servir du café avec le même style que si nous avions été en costume et robe de soirée.
Comme ...