La découverte
Datte: 04/03/2018,
Catégories:
fh,
voyage,
BDSM / Fétichisme
massage,
Oral
pénétratio,
uro,
coupfoudr,
attirgros,
Auteur: Rubens, Source: Revebebe
... dit Magda rabaissant son tee-shirt avec un sourire coquin.
J’étais sur mon petit nuage, et avais du mal à revenir au contact du réel. Nathalie m’attendait avec un grand sourire. Elle aussi paraissait flotter de contentement.
— Ouah ! Qu’est-ce que je suis bien, dis-je.
— Moi aussi, mais tu ne me croiras pas… commença Nathalie
— Oh si, je pense savoir ! ajoutais-je.
— Quand elle m’a massé les fesses, elle m’a enduit d’huile jusque sur ma vulve ! Et ensuite elle m’a massé les seins en étalant l’huile avec les siens.
— Oh la bougresse, c’est donc une habituée ce n’est pas par hasard.
— Une habituée ? Quel hasard ?
J’expliquais donc à Nathalie le massage intime auquel j’avais eu droit. Nous avons éclaté de rire et sommes remontés dans notre chambre tendrement enlacés. Cette fois c’est totalement détendu que nous avons fait l’amour, gentiment, doucement, sans à-coup. Nos corps encore imbibés d’huile parfumée, glissaient l’un contre l’autre avec harmonie. Nous avons pris notre temps, cherchant l’un et l’autre à graver dans notre mémoire l’intégralité du corps de l’autre. Nous avons changé plusieurs fois de positions, en glissant doucement l’un contre l’autre. Je pouvais sentir la lourde poitrine de Nathalie me masser à chaque mouvement. L’impatience avait disparu, place à la volupté, au besoin de sentir intensément le corps de l’autre. Nathalie a lentement glissé vers ma pine en érection, l’a tendrement prise en main et s’est mise à la suçoter mutinement. J’ai ...
... réussi à la faire tourner sur moi sans lui faire lâcher sa prise et j’ai ainsi pu m’enivrer du fumet qui s’échappait de sa vulve. Ainsi en position du soixante neuf, Nathalie me suçait la queue doucettement, m’écrasant ses gros seins sur le bas-ventre tandis, qu’aux anges, je lui lapais son abricot fendu. J’essayais de me concentrer sur le clitoris de Nathalie en faisant abstraction du traitement qu’elle me prodiguait, je ne voulais pas jouir dans sa bouche. Je l’ai donc amenée à l’orgasme, un orgasme intérieur, sans démonstration bruyante mais tout aussi dévastateur. Repue, Nathalie grogna quelque peu quand je la fis rouler sur le côté et que je la pénétrai, mais elle se mit à l’unisson avec moi quand j’entrepris mes va-et-vient. Pour la dernière fois à Prague je jouissais en elle.
Le besoin de tendresse avait fait place à de la mélancolie. Nous savions que dès tôt demain matin nous allions reprendre l’avion et que nos vies risquaient de se séparer à jamais. Nous sommes restés pelotonnés l’un contre l’autre toute la nuit, sans échanger un mot, sans bouger mais sans dormir, nous étions trop tristes. La sonnerie du réveil à quatre heures du matin nous a sorti de notre léthargie. Machinalement nous avons fait une rapide toilette avant de nous habiller puis avons bouclé nos valises.
Nous sommes descendus dans le hall de l’hôtel attendre le taxi qui allait nous conduire à l’aéroport. Celui-ci est arrivé presque immédiatement. Nous avons mis nos bagages dans le coffre du taxi et ...