Vexilla regis prodeunt inferni
Datte: 21/06/2019,
Catégories:
fh,
inconnu,
bizarre,
jardin,
dispute,
Oral
fsodo,
hdanus,
fantastiqu,
Auteur: Ptolemee, Source: Revebebe
... d’une immense pièce complètement vide, se trouve un lit. Sur ce lit, une fille aux cheveux rouges, entièrement nue, allongée sur le ventre. Dité ! Elle semble dormir, et son corps rayonne dans toute la pièce comme s’il portait une grande lumière.
Antoine s’approche, avance la main afin de toucher ce lit bien réel, afin de toucher ce corps qu’il n’a pu qu’admirer jusqu’à présent. Un corps parfait, une peau si douce, une chaleur si forte. Et ces fesses, bien rebondies, attirantes. Ces fesses qu’il voit pour la première fois. Ces fesses qu’il désire. Il passe sa main dessus, les caresse, puis glisse le côté de la main dans la fente les séparant. Il approche son visage et découvre ce que l’on pourrait décrire comme un véritable "cul de déesse". Une rondelle parfaite, ouverte, large. Autant de place qu’il faut pour y passer l’un ou l’autre doigt.
Il est inutile de décrire la révolution se mettant à submerger Antoine, l’incitant à se mettre dans le plus simple appareil, et à se coucher sur le corps brûlant de cette nymphe. Il ne lui faut que quelques secondes pour en prendre possession, pour enfoncer son pieu de chair là où il rêve tant de pénétrer depuis des années, pour le faire aller, dedans, dehors, pilonnant littéralement ce corps qui lui est offert, et déferlant sa fureur jusqu’à l’apparition des premiers gémissements.
Mais, lorsque la fille se met à gémir, lorsqu’elle commence à crier son bonheur, un doute l’envahit. Il connaît ces cris. ...
... Il connaît bien ces râles de plaisir pour les avoir entendus mille et mille fois. Il regarde le visage de son amante et reconnaît l’oreille, le nez, le menton, la bouche. Il prend alors conscience de ce qu’il est en train de faire, de ce qui se passe réellement.
Il est en train de sodomiser sa femme.
Et le plus incroyable, c’est que celle-ci est en train de prendre son pied. Elle jouit, elle hurle de bonheur en sentant le sexe de son mari aller et venir à l’intérieur de ses entrailles. Elle lui a donc pardonné. Elle lui a même offert plus, ce qu’elle avait toujours refusé. Son cul. Et il ne s’en prive pas, déployant tout le reste de son énergie dans cette chevauchée conjugale. Il la prend et la reprend jusqu’à hurler lui-même de bonheur, rejoignant sa femme dans ce duo endiablé. Les cris se font de plus en plus forts, la possession de plus en plus profonde, jusqu’à l’arrivée d’un second jet, inondant l’intérieur de son épouse, se répandant dans tout le corps, les propulsant tous deux dans une longue extase, puissante et inégalée, avant qu’ils ne retombent enfin l’un sur l’autre, rompus, éreintés et si fatigués qu’ils tombent presque instantanément dans les bras de Morphée.
*
Dans son sommeil profond, Antoine ne peut voir la pluie venue du ciel, pluie de soufre et de feu, emplissant la pièce et s’abattant sur le lit, l’emmenant là où le jour ne pointe jamais…
Sources d’inspiration:
— Dante, La divine comédie
— Genèse 19 : 1 – 29