Souvenirs d'infirmière (partie 2)
Datte: 04/03/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Clar, Source: Hds
... ma motte mouillée. Je fais glisser le string qui tombe à mes chevilles. Je l’enjambe pour m’en débarrasser. Je m’accroupis et le prends en bouche. Je le suce avec avidité. Je sens qu’il grossit encore. La situation m’excite. J’ai envie de ce sexe d’ébène. Envie de le sentir en moi. Envie de m’écarteler dessus. Je le suce, l’absorbant dans ma bouche aussi loin que je peux, malaxant les boules dures. « Je vais te baiser petite salope. J’adore ton air de petite fille sage. Je suis sûr que tu n’as jamais goûté à un black. Tu ne vas pas le regretter Tu voulais ma queue tu vas l’avoir ». Il me relève, me place face à lui, me soulève, plie les genoux et me plante d’un coup de rein. Je n’ai pas le temps d’avoir mal, investie par ce dard dur et doux. Je m’accroche à lui, remonte une de mes cuisses sur sa hanche pour m’ouvrir davantage. Il entreprend une course rapide qu’il accélère et ralentit selon son bon vouloir. Je commence à haleter et à gémir doucement. Son ventre claque contre le mien. Je réalise que je suis nue, en train de me faire baiser à la hussarde dans un couloir de l’hôpital. Il a posé ses mains sur mes seins qu’il triture sans ménagement. Il en pince les bouts dardés qui deviennent hypersensibles. Il se montre expert dans l’art de l’amour. Je vibre par tous les pores de la peau. Je me retiens à lui, mes mains plaquées sur ses fesses musclées. Je perds la notion du temps. Je sens que je viens. C’est comme une lame de fond qui prend naissance au fond de mon ventre, qui ...
... irradie et déferle. Ma respiration se fait courte et haletante. Je mords son épaule pour ne pas crier. Il continue de me labourer. Plus vite. Plus fort. Plus loin. Tout d’un coup, je sens un liquide chaud en jet fouetter mon vagin et il se répand en une dizaine de coups de boutoir. Je jouis brutalement et il est obligé de me retenir pour que je ne tombe pas. La queue toujours au garde à vous, il me prend la main. « Ça t’excite hein salope de te taper un noir. Putain, c’était trop bon. Tu es faite pour la baise. Tu as mon adresse dans le dossier. J’espère que tu viendras chez moi. Je te baiserai autant que tu veux. Si tu veux on fera ça avec un pote. On te fera reluire. T’as vu, je bande encore, faut que tu me finisses. Suce-moi ou branle moi «. J’entoure son membre de mes deux mains et entreprends de le masturber, de plus en plus vite. Sa bouche prend possession de la mienne. Nos langues dansent un ballet étourdissant. Je perds à nouveau la notion du temps. Je le sens me serrer plus fort contre moi. Je pressens qu’il va jouir, et effectivement il inonde mes mains de sa sève. Nous nous rhabillons, fort heureusement, sa queue a repris un volume « normal ». Je le dépose dans le service de surveillance et retourne aux urgences non sans avoir jeté un dernier regard sur ses fesses. Chantal me prend à part. Elle nous a suivi et a assisté à la scène. « La vache, t’as pas froid aux yeux toi. Dis donc il t’a rudement fait reluire le salaud. T’as vu sa queue ? Et puis pas un éjaculateur ...