Souvenirs d'infirmière (partie 2)
Datte: 04/03/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Clar, Source: Hds
... existait une différence d’ambiance et de charge de travail entre la journée et la nuit.
J’avais remarqué que Chantal, quand elle était de nuit, ne mettait pas de soutien-gorge. La deuxième nuit de la troisième semaine, je la vis accompagner un jeune vers le service de radio. Il n’était vêtu que d’une chemise d’hôpital, ouverte dans le dos, sous laquelle il était nu. La vision de ses fesses nues fit naitre des picotements dans mon ventre. Le service étant quasi désert, je décidais de les suivre discrètement. A proximité de la radiographie, il y avait sur la droite une porte qu’ils franchirent. Je regardais par la vitre. Il marchait devant Chantal. Cette dernière avait posé sa main sur les fesses du jeune homme, s’immisçant parfois entre les globes jumeaux pour caresser les bourses. Au milieu du couloir faiblement éclairé, ils bifurquèrent à droite. J’ouvris doucement la porte et la retint pour qu’elle ne claque pas. J’avais des sabots aux pieds que j’enlevais pour ne pas faire de bruit. J’atteignis le milieu du couloir, et risquai un œil sur la droite. Le couloir était vide. Je m’avançai sans bruit. Soudain, j’entendis un soupir. Je continuai d’avancer. Il y avait un recoin sur la gauche, éclairé par une petite fenêtre. Je m’en approchai. Le jeune homme était debout contre le mur. Sa chemise d’hôpital gisait au sol. Chantal, debout face à lui, avait largement ouvert son haut sur ses seins et le branlait. Je fixai cette verge tendue, longue et nerveuse que la main caressait ...
... de haut en bas. Il se laissait faire, les yeux braqués sur la lourde poitrine de l’infirmière. Je n’osais bouger. J’avais envie de me toucher, mais tout geste aurait trahi ma présence. Chantal l’amena à la jouissance, et je vis de longs jets crémeux gicler et tomber sur le carrelage. Elle se baissa et nettoya longuement la verge avec sa langue. Je m’éclipsai rapidement, récupérant mes sabots au passage. Un peu plus tard, profitant d’un moment où nous étions seules, Chantal me dit « alors, on joue les voyeuses ? Au moins tu connais maintenant un recoin secret. Tu vois, je l’ai juste branlé parce que j’ai mes règles, donc terrain impraticable. Sinon, je me serais bien fait enfiler «
Deux semaines après cet intermède, nous avons reçu au milieu de la nuit, un beau black, âgé de 25 ans, qui avait eu un accident de voiture et souffrait d’un simple traumatisme crânien. Le hasard voulut que je m’en occupe. Il avait suivi les consignes de l’aide-soignante et s’était mis en slip. Je m’employai à prendre sa tension, son pouls, sa température, sa fréquence respiratoire, autant d’éléments importants pour le médecin qui l’examinerait tout à l’heure. Comme il était mignon, je décidai de lui faire un électrocardiogramme, examen inutile dans son cas. Cela me permit de lui poser des électrodes, que je m’appliquais à faire tenir, « obligée » pour cela de toucher sa peau, une peau douce à souhait que je caressais furtivement du bout de mes doigts. Le médecin entra dans le box, et me demanda ...