Lettre à Caro - 2
Datte: 15/06/2019,
Catégories:
f,
fh,
ff,
fplusag,
magasin,
chantage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
chaussures,
Masturbation
intermast,
pénétratio,
lettre,
totalsexe,
Auteur: Albertine, Source: Revebebe
... ?
Pendant que ce souvenir passe dans mon ventre, mon admirateur continue son fantasme et je reviens chez mon marchand de souliers.
— Françoise, touche les cuisses de Madame le Professeur du bout des doigts, remonte entre ses jambes, encore, encore. Sa peau est chaude ? Hoche la tête pour me répondre.
Françoise fait oui.
— Maintenant, pose ta main sur le bord du tabouret et pousse tes doigts sous ses fesses, bien au milieu, force un peu, bravo, madame a sursauté, tu as touché son anus. Remonte le dos de ta main en caressant sa toison, elle est en désordre, utilise tes doigts comme un peigne, trace une ligne en appuyant ton grand doigt, monte encore un peu vers son ventre. Ah ! Encore un choc, cette fois tu as touché son clito, n’insiste pas et reviens au départ. Tu as bien délimité la vallée du plaisir, il faut maintenant faire jaillir la source avant de pénétrer dans la grotte des délices (pas mal non plus, pas vrai Caro ?)
Je ne sais si je dois protester, le texte est joli, le geste est quand même osé envers Madame le Professeur. Je regarde bêtement le menton de Françoise : il tremble comme celui d’un bébé qui va pleurer, les ordres de l’artiste me ravissent comme s’il ne s’agissait pas de moi, mais les doigts remontent à nouveau et creusent leur chemin dans mon sexe. La troisième caresse est plus spontanée, plus hardie et mes lèvres s’ouvrent sous la pression ; je sens un doigt qui glisse dans mon jus, je me rends compte brusquement que mes cuisses s’ouvrent ...
... toutes seules et que ma Françoise, Professeur de morale, prend goût à me pénétrer sous les ordres de mon marchand de souliers.
Au fait, et lui ? Je lève les yeux, il est revenu devant le bureau, il a sorti son sexe et le caresse avec amour.
— Tu vois Nathalie, je sais me contrôler cette fois, je parie que tu jouiras avant moi, regarde ma belle queue bien dure, tu m’aimerais pas la sentir dans ton ventre ?
Je ne réponds pas, il continue :
— Bravo Françoise, étends bien le jus sur tout le chemin, tu sens le clito ? Mouille-le sur le côté, ne le touche pas de face, caresse-le à petits coups en le remontant comme si tu voulais redresser une petite fleur, la rendre à la vie. Quand tu sentiras qu’il reste dressé laisse-le, c’est le moment de pousser deux doigts dans le sexe de ta Madame, tu le fais ?
Elle hoche la tête et je la sens bien, ses doigts glissent aussi facilement dans mon ventre que dans ma bouche pleine de salive, ils vont et viennent.
Je me cramponne au tabouret de mes deux mains dans mon dos. Je tire sur mes épaules, je sens ma blouse tendue sur mes seins, les pointes sont dures. Quelque chose est gonflé dans ma gorge, je ne peux plus avaler ma salive, je ne peux plus détacher mes yeux de ceux de mon violeur, je vois vaguement sa main branler son sexe. Il est aussi perdu que moi, mon ventre s’ouvre en deux, je vais tomber, il crie :
— Françoise, viens ici !
Il l’attrape par les cheveux et la colle sur le bureau d’un seul mouvement, je ne vois ...