L'Autre Univers (3) - Histoires de Sexe

L'Autre Univers (3)

... l’autre...

— Est-ce que tu me trouves... Attirant ?

— Attirant ?

— Si je n’étais pas ton cousin, il y aurait moyen que tu sois intéressée par moi ?

— Si tu avais un vagin, et une poitrine, en effet, j’aurais pu me laisser séduire. Malheureusement, tu es du mauvais sexe, et de la mauvaise famille...

— D’accord.

La voix un peu triste, pour une obscure raison, j’avale ma salive, avant qu’elle ne me murmure à l’oreille :

— Mais là, je suis presque assez désespérée pour devenir hétéro... Me laisser tenter... Regoûter à du sexe pur...

Je rougis une nouvelle fois, alors qu’une lueur étrange se répand dans la pièce, me permettant d’entrevoir la belle dans toute sa splendeur. La couette a glissé légèrement, me permettant de voir les courbes de son corps. La beauté de sa peau laiteuse... Ses taches de rousseur juste en dessous des yeux... La finesse des traits de son visage...

La lumière finit par s’éteindre, rendant la scène à nouveau sombre. La jeune femme finit par rompre le silence :

— J’ai... Un gage, pour toi.

— Sans question ?

— Plus de questions. Juste... Un gage.

— Lequel ?

— Touche-moi.

J’en reste muet quelques secondes, sentant mon sang battre à mes oreilles, sans trop comprendre ce dont elle me parle. Elle semble sentir mon malaise, alors qu’elle prend ma main, la guidant sous la couverture, comme en sous-marin, jusqu’à ce que je sente une partie tendre et humide de son intimité :

— Touche-moi...

Je ne bouge toujours ...

... pas, tandis qu’elle prend mon mangeur entre ses doigts, pour le faire glisser dans l’humidité, en poussant un gémissement de plaisir. Je suis dur comme du béton armé. Mais je la laisse faire tout ce qu’elle veut de moi, jusqu’à ce qu’elle me murmure :

— Si tu me doigtes, je te suce... Je te pomperai comme si ma vie en dépendait. Et tu pourras jouir dans ma gorge... Sans t’arrêter.

Je rougis encore plus, avant de pouvoir lui indiquer :

— Tu es ma cousine...

Sa réponse me laisse perplexe :

— Non... Pas ce soir. Maintenant, je suis juste une femme. Et je ne veux qu’une seule et unique chose...

— Quoi ?

— Toi.

— Moi ?

— Oui... Je veux que tu me caresses... Tout doucement...

Je commence à donner un mouvement de va-et-vient dans son antre humide, qui est maintenant parcouru par des frissons de plaisir. Elle geint à mon oreille :

— Encore... Tout doucement...

Ses longs doigts aux ongles tout aussi longs continuent de guider mon majeur dans son vagin étroit, alors qu’elle pousse un soupir de pur contentement. Juste après, elle me relâche, me permettant ainsi de continuer sans aide, avant de sentir sa main sur mon boxer, qu’elle abaisse, sortant mon sexe tendu de sa prison. Je geins lorsqu’elle me serre dans son poing :

— Chose promise, chose due, mon beau. Un marché est un marché... Prépare-toi à voir des étoiles...

Je ne dis rien, me contentant de lui donner, et de recevoir. Jusqu’à ce qu’elle ne gémisse de plaisir :

— Vas-y mon grand... ...