Les Andelys
Datte: 14/06/2019,
Catégories:
ffh,
fbi,
groscul,
hépilé,
fépilée,
confession,
Auteur: Anette, Source: Revebebe
... dit :
— Enlève tout !
C’était à la fois un commandement et une prière. Comme mécaniquement, je mis les mains dans mon dos et détachai le soutien-gorge. Les seins libérés étaient durs les pointes presque violettes, me semblaient énormes. Les yeux de maxime ne quittaient pas mon corps.
Je sentais mon sexe qui se préparait, les lèvres gorgées et le clitoris qui se tendait comme une petite verge. Je défis lentement le nœud qui retenait le slip du côté droit. Le petit tissu tomba à mes pieds.
Mathilde était allongée sur le lit et se caressait franchement. Maxime était toujours muet, une scène hallucinante, que je n’aurais jamais imaginé vivre quelques jours auparavant.
Maxime s’approcha alors doucement de moi, en me souriant il me prit la main et me fit tourner comme pour un mouvement de rock. Il m’immobilisa, je lui tournais le dos, je lui exposais mes fesses. La voix de Mathilde, un peu saccadée :
— Maxime adore les gros culs.
J’étais tellement excitée que je pris ça pour un compliment. Il vint se coller à moi dans mon dos, son sexe se pressait contre la raie de mes fesses. Il avait pris mes seins et en caressait les bouts turgescents. Il les pinça doucement puis de plus en plus fort. Une douleur mais aussi un plaisir fou, j’avais envie de ses doigts sur mon sexe et de son sexe dans mon vagin.
Il me poussa vers le lit. J’étais sur le dos, ouverte. Mathilde empoigna mes seins sans ménagement et Maxime me lécha le sexe. Mon clitoris était le centre du ...
... monde. Il le prit entre ses lèvres et en lécha le bout. Je jouis instantanément sans retenir un cri. J’étais pantelante. Mathilde recouvrit le membre d’un préservatif, je sentis mon vagin se dilater et le gros sexe me pénétra. J’étais dans un état second et un orgasme brutal vint de nouveau me secouer, à la fois libérateur et frustrant par sa rapidité.
Maxime se retira de moi, arracha le préservatif et pénétra presque violemment Mathilde. Elle avait le visage crispé, entièrement consacré à son plaisir. Maxime la pénétrait en faisant varier la force de ses coups de rein ce qui lui tirait des râles à chaque changement de rythme. J’eus une envie irrépressible de caresser ses seins, de sentir leur texture. C’était doux, les larges aréoles contractées étaient devenues grumeleuses, je saisis un mamelon, petit mais gonflé et le pinçai, elle se cambra et se mit à trembler et l’orgasme la submergea. Elle poussa deux cris et Maxime, dans une sorte de feulement, se vida en elle.
Il y eut un silence, nos trois corps plus ou moins emmêlés. Je repris mes esprits et tentai de me trouver quelques excuses. Maxime se leva et disparut dans la salle de bain toujours aussi silencieux, au passage j’admirai son membre superbe et luisant.
Mathilde se colla à moi et je ne me dérobai pas lorsqu’elle me fit un baiser. Elle se dégagea ensuite, se mit à califourchon sur moi et me présenta son sexe ouvert et dégoulinant de ses sécrétions et de l’abondante semence de Maxime. Elle s’approcha et m’offrit ...