1. Les Andelys


    Datte: 14/06/2019, Catégories: ffh, fbi, groscul, hépilé, fépilée, confession, Auteur: Anette, Source: Revebebe

    ... résonna, je reconnus le numéro.
    
    — C’est moi ! Prends un maillot, il a une superbe piscine et le temps est prévu à la canicule. Tchao à demain !
    
    Et elle raccrocha. Je pris trois maillots : un « une-pièce » et deux bikinis dont un assez sexy. Je verrais bien selon les circonstances.
    
    Le lendemain, j’allai à mon rendez-vous. J’avais pris un maillot pour les UV. Agnès était mon esthéticienne depuis des années. Nous vieillissions ensemble comme il nous arrivait de dire.
    
    Il n’y avait pas foule, elle m’accompagna dans la cabine pour les réglages, je ne tenais pas à brûler. Pas plus de dix minutes pour la première séance d’autant que je partais d’un hale niveau zéro. Je me déshabillai sans aucune pudeur, elle m’avait tellement vue nue. Elle rit :
    
    — Quelques couleurs ne pourraient pas faire de mal en effet ! Vous restez nue ou en maillot ?
    — Je ne sais pas trop.
    — Moi je préfère avec maillot, je trouve ça sexy les marques mais c’est une affaire de goût.
    
    Je ne dus pas avoir l’air entièrement convaincue.
    
    — Je vous assure ça plait beaucoup aux hommes, ajouta-t-elle en riant.
    — Va pour le maillot.
    
    Le générateur d’UV était un modèle vertical et les dix minutes passèrent bien vite mais j’avais déjà senti la chaleur sur ma peau. En retirant le haut du maillot, je trouvai que mes seins étaient déjà plus clairs que le reste. Machinalement je tirai sur mes pointes ce qui me procura quelques frissons. Je décidai de ne pas remettre de soutien-gorge. Je surpris le ...
    ... regard d’Agnès lorsque je pris le rendez-vous pour la séance suivante. Elle avait le regard attiré par mes seins, manifestement nus sous le tee-shirt et les pointes plus que visibles qui en plus se raidissaient sous le frottement du tissu. Un peu de provoc ne me déplaisait pas.
    
    Je déjeunai d’une salade. Mathilde fut ponctuelle. À treize heures trente précises, la sonnerie de l’interphone indiqua sa présence. Je pris mon sac chargé comme pour un voyage, et je la rejoignis sur le trottoir. Elle me fit la bise comme à une vieille copine tout en lorgnant sur ma poitrine.
    
    — Dépêchons-nous, Maxime est en double file, pas moyen de se garer dans ton quartier !
    
    Maxime était donc là. À aucun moment Mathilde n’avait fait allusion à sa présence lorsqu’elle m’avait appelée. Le véhicule était encombrant, un quatre-quatre noir aux vitres teintées. Une vraie bagnole de gangster, pensais-je tout bas. Seule la silhouette de Maxime se devinait à la place du conducteur. Mathilde ouvrit la porte du coffre dans lequel il y avait déjà un grand sac de voyage bien rebondi. Je notais qu’il n’y avait qu’un seul sac. Nous montâmes toutes les deux à l’arrière, Maxime me salua, presque indifférent.
    
    La sortie de Paris se fit sans encombre, il y avait déjà eu des départs de vacances. L’autoroute était quand même un peu chargée, Maxime conduisait sans à-coups. Mathilde me parla de notre hôte, de ses livres, de sa maison, presque un château. Elle avait eu l’occasion d’y aller deux fois.
    
    L’arrivée ...
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