1. Il faut sauver le soldat Betsy


    Datte: 11/06/2019, Catégories: fh, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Humour policier, Auteur: Yuri Netternich, Source: Revebebe

    ... monde à retenir les mamelles de la blonde. Elle avait dû deviner ma pensée, car elle dégrafa elle-même son soutif, libérant ses obus qui se mirent à sautiller au rythme de sa chevauchée.
    
    — Alors comme ça Wilkins vous a engagés ?
    — Eh oui, mon cher Don, comme tu le vois ! Cette chère Betsy sera vite retrouvée.
    — Oui, articula Clara sans que je sache si elle manifestait son plaisir ou son approbation.
    — Et vous avez l’intention de la retrouver en restant planqué dans ce buisson et en vous envoyant en l’air avec votre assistante ?
    — Je fais confiance à mon intuition. Elle ne m’a jamais trahi.
    — Alors bonne chance ! Viens, Karen, rejoignons notre secteur.
    — Ah ? On ne regarde pas la fin ?
    
    Je partis sans attendre la suite. Derrière moi j’entendais Karen qui faisait des adieux tout ce qu’il y avait de plus mondain aux deux loustics avant de cavaler pour me rejoindre.
    
    — C’est amusant de voir à quel point le monde est petit, on tombe toujours sur nos deux amis.
    — Amis ? Je t’en prie…
    — Voyons Don, Dob Nooth est un grand détective.
    — Pffff, la seule chose qu’il soit capable de détecter, c’est la chatte de son assistante.
    — Je te rappelle qu’il y a trois jours tu n’étais même pas capable de détecter la mienne…
    — Oh non, tu vas encore me sortir cette histoire ? Je me suis excusé pourtant.
    — Tu étais saoul, tu me prenais pour Angelina Jolie, et tu t’es endormi comme une masse entre mes cuisses après deux tentatives de pénétration avortées…
    
    Je préférai changer de ...
    ... sujet, je sentais venir le terrain glissant comme une savonnette sous la douche.
    
    — Et ce fameux secteur C8, on y arrive bientôt ?
    — Nous y sommes. C’est ce coin de forêt. Notre mission est de ratisser la zone afin d’y chercher un éventuel indice, et de surveiller tout déplacement suspect.
    — Alors au boulot. Je ne veux pas être pessimiste, mais avec la nuit qui tombe on ne verra pas grand-chose.
    — Tu n’as qu’à allumer ta torche.
    — Ma torche ?
    
    Karen poussa un soupir lourd de sous-entendus, sortit de son sac à main deux torches électriques et m’en donna une tout en allumant la sienne. Mais que pouvait-elle encore avoir d’autre dans son sac ?
    
    — On se déploie à deux mètres d’intervalle et on y va.
    — Tu es sûre ? On pourrait peut-être suivre la méthode de Nooth, puisqu’il est si fort…
    — Tu te souviens de l’histoire de la grenade entre les cuisses ?
    
    Je poussai un « gloups », allumai la torche et me mis à fouiller les buissons sans plus rien ajouter. Ma grande expérience me disait que la nuit qui s’annonçait n’aurait rien de très agréable pour moi. Je remontai le col de ma veste, bon sang ce qu’il pouvait faire froid ! Je repris une gorgée de bourbon pour me réchauffer tout en scrutant le sol en cherchant vainement quelque chose qui sorte de l’ordinaire.
    
    Combien de temps dura notre exploration de ce merveilleux monde forestier ? Ces instants me parurent durer aussi longtemps que le solo de guitare d’un groupe de rock psychédélique. Je ne sentais plus mes pieds, ...
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