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Les outrances d'un prêtre
Datte: 11/06/2019, Catégories: f, h, fh, ff, fbi, hplusag, uniforme, bizarre, amour, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme pied, Masturbation entreseins, Oral pénétratio, fsodo, hsodo, lavement, attache, BDSM / Fétichisme bougie, fouetfesse, init, théatre, Humour Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe
... yeux. Évitons le désordre et que quelqu’un s’intrigue. Prêtre Non ! Je t’en prie, va-t-en, retourne donc chez toi ! Plonge dans le sommeil, le repos, l’amnésie. Trouve dans le confort de ton lit, sous ton toit, Le moyen d’oublier toutes ces frénésies. Elle Je me vais vous quitter tout en vous remerciant : Par votre sacrement vous m’avez libérée D’un péché fort sérieux : vous être l’officiant Qui sut absoudre une âme enfin exonérée. Scène 5 Le prêtre, seul. Prêtre Tiens ! Elle a oublié l’un de ses vêtements Qui traîne sur l’autel : sa petite culotte Portant la trace intime où le suintement De miel exquis de fille en du coton mijote. Il porte la culotte à son nez et la hume longuement. Oh ! C’est tellement fort ! Cette lubricité M’a conduit à commettre, ici, dans mon église Les pires violations, blasphèmes, atrocités Imaginables : enfin cela je réalise ! Comment pourrai-je encore en ce lieu célébrer La messe du dimanche au milieu des fidèles ? Les hosties saigneront, les vitraux vont vibrer, Et l’on verra du sang sur les murs qui ruisselle. Surtout cette donzelle au cœur encore si pur, Je l’ai manipulée afin d’obtenir d’elle Un assouvissement de mon désir obscur Faisant de moi un prêtre à mon vœu infidèle. C’est sûr ! Elle dira ce que nous avons a fait, Ne pouvant bien longtemps conserver le silence. Elle révélera mes lubriques méfaits : J’entends déjà des bruits toute la ...
... virulence. Dès demain la rumeur envahira partout Dans les conversations des gens de la paroisse. Cette réputation qui était mon atout Sera brisée : je sens que me gagne une angoisse. Jamais je ne pourrai affronter les regards Des gens qui jugeront toutes ma turpitude. Même s’ils resteront pleins de mielleux égards, Je ne supporterai pas leur sollicitude. Lors, traîné dans la boue, la honte et le mépris, Chacun chuchotera d’un médisant murmure : Quel est cet hypocrite au mensonge surpris Qui promeut la vertu mais vit dans la souillure ? Il faudrait qu’à genoux je demande pardon À cette femme que j’ai salie de luxure. Jamais elle ne voudra consentir à ce don : De sa vengeance alors j’essuierai la morsure. C’est trop pénible : je ne puis tant m’avilir. Je préfère mourir sans la vieillesse attendre. Saisissons cette corde et nouons sans faiblir Un nœud serré. Glissons enfin dans la nuit tendre. La corde du clocher fera ma pendaison. Les gens me jugeront d’une façon sévère, Surtout le sacristain voyant ma bandaison En découvrant mon corps. Là finit mon calvaire. Il est temps de jeter ce masque grimaçant : Ma vie n’aura été qu’absurde comédie. Je n’ai jamais été le bon prêtre innocent ; Ma vocation n’est que risible parodie. Ô toi, chouette harfang, entends mon désespoir Dans cette nuit où Dieu a repris l’espérance, Toi qui fus de mon âme agitée le miroir. C’est heure de tirer enfin ma ...