Ma fille : la plus sexy des valentines (6)
Datte: 10/06/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Botran, Source: Xstory
... semblait elle aussi à bout de nerfs tout à coup. En quelques minutes, la magie de cette soirée avait basculé vers autre chose, une part plus sombre.
Je sentis alors mes chaussures tomber au sol, tentant d’incliner la tête et d’ouvrir les yeux pour observer ma fille. Je répétais la même chose inlassablement.
— Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ma chérie ... ? fis-je presque en pleurant.
Lucile ne répondit pas. Elle savait que j’étais dans le vague et que je devenais incohérent.
Je fus de moins en moins conscient de ce qui se passait et mon corps commença à se relâcher. La fatigue prenait le dessus. Mais seulement pour quelques secondes, car je ressentis soudain un électrochoc ! Sûrement le plus violent de ma vie à ce moment. Je levai une dernière fois les yeux vers le bas de mon corps et vis ma fille le buste penché en avant, au-dessus de mon entrejambe. Ses mains s’affairant à défaire le bouton de mon jeans et glisser la braguette vers le bas.
Des pics de douleur percutèrent mon corps de part en part, et je sentis une éminence se dresser, la pointe de ma virilité s’avançant vers ma fille.
Lorsque Lucile parvint enfin à faire glisser mon pantalon à mes pieds, elle ne sembla pas s’embarrasser de la gaule qui pointait vers elle. J’observai la moindre de ses réactions avec une concentration intense, au bord de l’évanouissement, luttant pour ne pas louper ce qui ...
... pouvait suivre.
Après avoir extrait mon jeans de mes pieds, Lucile prit la couverture au bout du lit et la ramena vers moi, la faisant monter petit à petit le long de mes jambes. Je priai qu’un miracle se produise, et comme je l’espérais, elle arrêta la couette juste avant de recouvrir mon sexe.
J’examinai son visage, à la recherche de la moindre perception qui pourrait me mettre sur la voie d’une possibilité sur la suite des événements. Elle semblait hésitante, comme emprisonnée dans une bulle de doute et de remords.
Elle ferma les yeux, inspira, et souffla profondément.
Je la vis avancer son visage près du mien et me lancer un sourire presque imperceptible, à la fois gêné et timide.
— Je sais que c’est ma faute... murmura-t-elle d’une voix chevrotante.
Je ne répondis rien. Incapable de prononcer le moindre mot. Ma respiration seule s’avérait déjà lente et douloureuse.
— Je suis désolé. Vraiment. Je... Je ne voulais pas te mettre dans cet état.
Ma fille pleurait désormais, je sentis plusieurs larmes chaudes tomber sur ma joue et couler dans mon cou. Son cœur battait la chamade contre mon bras.
— Tu veux que... que..., elle se racla la gorge, emplie de sanglots.
— ... que je m’occupe de ça, Daddy ?
Lucile me fixa d’un regard doux, sincère et intense lorsque je sentis sa main effleurer ma queue dressée.
Je fus pris d’un évanouissement fulgurant...