Ma fille : la plus sexy des valentines (6) - Histoires de Sexe

Ma fille : la plus sexy des valentines (6)

... me sentais faible, comme empreint d’une fatigue soudaine, pas physique, mais psychologique. Mon esprit était habité par trop de pensées. Il se torturait lui-même pour effacer toute la dualité du combat entre mon désir et ma moralité. Faute de solution pour résoudre ce problème, il se voyait obligé d’attaquer mon corps pour stopper, même temporairement, cette lutte perdue d’avance.

— Ca va..., parvins-je à murmurer d’une voix sifflante.

— Mais qu’est-ce qui t’est arrivé Papa ?

Lucile m’aida à me relever et glissa mon bras derrière son cou pour supporter le poids de mon corps. Jamais je ne pensais en arriver là.

— Rien, rien ! insistai-je faiblement. Je me suis senti mal tout à coup. Je... j’ai...

Je dus reprendre mon souffle. Marcher était difficile et ma respiration se bloquait encore.

— Je n’ai rien bu depuis plusieurs heures, achevai-je. C’est sûrement ça.

— Viens, je vais t’aider à monter les escaliers et tu vas te poser sur ton lit, d’accord ?

— Oui, ma belle.

Lucile m’aida du mieux qu’elle put pour gravir les marches, mais nous mîmes plusieurs minutes avant de parvenir à ma chambre. A bout de forces, elle me lâcha lourdement sur mon lit, chavirant elle-même avec moi.

— Oh ! Papa, ça va ? Tu vas bien ? s’enquit-elle.

— Oui, t’inquiète pas ma chérie, ça va aller.

Elle reprit son souffle quelques secondes et m’apporta la bouteille posée sur ma table de nuit.

— Tiens, bois un peu.

Elle avança le goulot vers ma bouche et je pus ...

... avaler un peu d’eau. Chaque gorgée était salvatrice, me requinquant légèrement. Je bus autant que possible, mais j’eus le malheur d’apercevoir le regard concentré de ma fille sur moi. Ses yeux me mirent une nouvelle fois le trouble, et je ne pus réprimer une vision de ma bouche en train de lui suçoter le clitoris pour boire son jus. Je fermai les yeux et m’étouffai en toussant bruyamment.

— Papa ! fit Lucile d’une voix affolée. Mais doucement, je t’en prie. Qu’est-ce qui se passe ?

— Rien, assurai-je entre deux quintes de toux. Vas-y ma belle, il faut que... que je dorme. Ne reste pas là ! Pars, pars ! Je t’en prie !

Lucile parut troublée, son visage se peignit d’inquiétude et ses yeux s’humidifièrent.

— Papa ! Attends, je peux pas te laisser dans cet état.

Elle bascula mes jambes dans le bon sens du lit et commença à tirer sur mes chaussures.

— Qu’est-ce que tu ... ?

— Il faut te déshabiller Papa, tu peux pas rester comme ça !

Pourquoi ? me dis-je intérieurement. Une question me tarauda soudainement l’esprit. Pourquoi ? Bordel de merde ! Quelque chose avait changé ! Je n’avais plus le droit à mon « Daddy » ... C’était « Papa » désormais.

— Mais pourquoi ? lançai-je, hagard.

— Tu dois retirer tes chaussures et ton pantalon avant de te coucher. Mais ne bouge pas, ajouta-t-elle en voyant mon agitation. Je m’en occupe, reste couché !

Elle ne répondit pas à la question que je lui posais réellement, mais m’intima ses directives comme des ordres. Elle ...