Ma fille : la plus sexy des valentines (6) - Histoires de Sexe

Ma fille : la plus sexy des valentines (6)

Le retour à la maison s’était fait dans le plus grand silence. Ni ma fille ni moi n’osions entamer la discussion. Une atmosphère étrange planait dans l’habitacle de la voiture, nos respirations douces et silencieuses semblant se mettre au défi pour atténuer les battements de nos cœurs et prolonger cette aura mystique entre le père et la fille. Mon cœur était bouleversé, je le sentais se tordre et pleurer en moi comme si les événements de cette soirée réussissaient encore à semer le trouble au plus profond de mon être.

Et celui de Lucile ? Comment son petit cœur de jeune fille pouvait-il encaisser ces dernières heures ? Avait-il seulement conscience de toutes les émotions qui sillonnaient son corps ?

Ces questions me parcouraient la tête, interrompant le fil de mes pensées à fréquence constante, et je ne vis même pas notre arrivée. Lucile dut m’appeler pour que je percute.

— Papa ! Papa !

Je tournai la tête et aperçus ma fille devant ma vitre, cognant doucement sa main contre le verre.

— Oui, dis-je troublé. Je sors.

J’ouvris ma portière et m’avançai près d’elle pour rejoindre la porte d’entrée.

Lucile ne dit rien de plus. Elle semblait tout aussi perdue que moi, je la voyais le regard baissé, cherchant à fixer quelque chose sans toutefois y parvenir. Le fil de ses pensées devait fuser autant que le mien.

Je la vis se pencher légèrement pour glisser sa clé dans la serrure de la porte et je ne pus m’empêcher de scruter la courbure de ses hanches ...

... lorsqu’elle se redressa. Je pris quelques secondes de retard pour contempler ses deux belles petites fesses se frotter l’une à l’autre dans son jeans serré lorsqu’elle rentra. Lucile posa son sac de lingerie à terre, et se baissa alors plus outrageusement pour ôter ses chaussures, et j’eus une vue magnifique sur son petit cul qui m’avait tant fait bander ce soir. Je m’avançai prestement derrière elle, prêt à lui saisir les hanches pour la besogner là, sur le carrelage froid, la porte d’entrée encore ouverte, à la vue et aux écoutes des voisins. Mes mains s’arrêtèrent à quelques centimètres de ses hanches, crispées et les veines gorgées de sang, au bord de l’explosion. L’envie de la prendre sauvagement en déchirant son jeans puis sa petite chatte de pucelle me tiraillait. Mon esprit vrilla, mes tempes chauffèrent et me firent fermer les yeux. Je vacillai tout à coup lourdement sur la gauche, contre le mur, la tête et le corps emplis d’un désir ardent et brûlant.

Lucile se retourna en poussant un petit cri de surprise. Je voyais dans son regard un air paniqué. Elle se pencha vers moi, exposant sa poitrine et me fixant de ses yeux perçants.

— Papa ! Papa réveille-toi !

Je perçus des débuts de sanglots dans sa voix, elle semblait à fleur de peau et réellement inquiète pour moi. Je parvenais à la fixer brièvement en papillotant des yeux, mais ma vue demeurait cerclée d’un contour flou et difforme. Seule Lucile et sa beauté transparaissaient dans mon champ de vision restreint. Je ...