1. Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (7)


    Datte: 08/06/2019, Catégories: Lesbienne Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... presque un kilomètre entre nous et le sol, j’en avais mal au cœur. Je continuais à embrasser Muriel, pendant ce temps-là je ne regardais pas le sol. Maintenant Geneviève s’était glissée dans mon dos, elle me caressait la poitrine d’une main et toujours mon entrejambe de l’autre. J’étais en train de me faire chauffer par deux femmes qui me désiraient. Décidément j’étais en train de devenir la proie de ces deux femmes, j’étais dans une nacelle, n’était-ce pas ça que de se retrouver au septième ciel.
    
    Il était déconcertant de constater à quelle vitesse le vent pouvait nous faire changer de direction, de temps à autre Geneviève me lâchait l’entrejambe pour donner un petit coup de brûleur. Geneviève nous a expliqué que nous avions décollé au Nord-Ouest de Mulsanne, elle nous a interrompues dans notre baiser, pour nous expliquer qu’au loin nous pouvions voir la ville du Mans. Geneviève nous servait aussi de guide touristique en nous expliquant que nous étions en train de quitter au loin le circuit Bugatti par son nord-est. Les gants étaient devenus indispensables, mais pour prendre les photos, ce n’était pas évident. Je ne reconnaissais rien, en même temps je n’étais pas vraiment du coin, j’ai été un peu bête quand Muriel m’a dit que nous étions en train de survoler la voie rapide. Nous n’avions pour seule compagnie que le bruit du vent, quelquefois celui du brûleur, mais aussi nous entendions le cri strident d’un rapace. On ne le voyait pas, mais on l’entendait, cela cassait ...
    ... un peu la solitude où nous étions toutes les trois. Pendant que j’admirais le paysage, quand Muriel m’en laissait le temps, mon organisme était en train de s’exciter de plus en plus, suite aux caresses d’une grande précision de la patronne.
    
    Geneviève avait pris maintenant le relais à m’embrasser et Muriel s’était carrément glissée sous ma robe. Notre conductrice était désormais complètement recouverte par ma robe longue, elle m’avait débarrassée de ma culotte et maintenant je sentais son souffle chaud sur ma toison pubienne tout humide. Je soupirai de plaisir et je me penchai en arrière, en préférant oublier qu’il y avait le vide. Je ne regardais pas beaucoup le paysage actuellement, mais Geneviève nous expliquait que le vent nous emmenait plein Est. Elle me laissait bête à pouvoir en un coup d’œil situer où nous étions, et surtout à quelle vitesse nous nous déplacions. Maintenant la langue de Muriel était en train de s’attarder sur mon clito, qui était très sensible à ses attentions, mais surtout elle venait me laper la mouille que je me produisais abondamment. C’était vraiment très agréable que de se faire donner du plaisir par deux femmes, les baisers de Geneviève étaient vraiment magiques, la douceur de ses gants dans mon cou me faisait vraiment beaucoup d’effet.
    
    Je ne sais pas si ces deux femmes s’étaient mises d’accord pour me faire du bien, mais le résultat était là, l’union des deux était sur le point de me faire maintenant prendre mon pied. Moi qui d’habitude ...
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