1. Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (7)


    Datte: 08/06/2019, Catégories: Lesbienne Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... prenais les initiatives avec Geneviève, ce coup-ci c’est elle qui dirigeait les opérations et Muriel qui s’exécutait avec gourmandise. Maintenant notre conductrice était accrochée à mes cuisses gainées de bas voiles satinés, j’avais écarté les jambes et mes mains étaient accrochées à la nacelle en osier. Je soupirais de plus en plus fort et en arrivais même à pousser de petits cris, pour le coup, je pouvais me lâcher, il n’y avait personne pour nous entendre. Notre conductrice avait l’air de mettre tout son cœur pour me faire du bien, elle devait sentir que j’allais bientôt jouir. Sans doute était-ce pour cela qu’elle redoublait d’intensité, les deux femmes s’étaient mises d’accord pour me faire jouir en plein ciel. C’est dingue le nombre de premières mémorables que je vivais durant ce long week-end, je n’étais pas près de l’oublier.
    
    Quand Geneviève a glissé sa main dans ma doudoune, pour aller me pincer la pointe des seins, je n’ai pas pu résister, c’est à ce moment-là que ma jouissance a commencé. Avec mes jambes bien écartées, l’accès mon vagin était vraiment facilité, et c’est ainsi que Muriel a carrément rentré sa langue dedans. J’avais envie de sautiller de plaisir, mais vu le contexte, j’ai préféré me retenir, par contre je me suis mise à crier. Nous étions à onze cents mètres d’altitude, il faisait assez froid, je me suis mise à crier de toutes mes forces le plaisir que je venais de prendre, d’autant que Muriel n’avait pas cessé de me chauffer avec sa langue. De ...
    ... son côté Geneviève était en train de s’occuper de la montgolfière, elle nous expliquait que la chaleur extérieure était plus basse que celle qui était dans le ballon, ce qui nous faisait monter un peu trop vite. Maintenant le soleil brillait, c’était vraiment très agréable de voir la campagne se réveiller avec ce soleil d’automne, qui voulait encore remplir sa mission pour quelques jours, apparemment.
    
    J’avais joui et voilà maintenant cinq minutes que Muriel était toujours en dessous à me faire du bien, mais cela devenait insoutenable. Je lui ai saisi la tête à travers la robe pour l’inviter à cesser ce qu’elle me faisait, même si c’était quand même très bon. Elle est ressortie de sous ma robe et surtout de sous ma doudoune, a refermé cette dernière pour ne pas que j’attrape froid, avant de venir m’embrasser, son visage était barbouillé de ma cyprine.
    
    « Jamais tu ne pourras prendre ton pied à ce point en plein air.
    
    Rappelle-toi ce que je te disais, tu es faite pour faire l’amour n’importe où. »
    
    En même temps que Geneviève me parlait, elle regardait le paysage et surtout l’horizon, on avait l’impression qu’elle surveillait quelque chose. Elle nous a expliqué que compte tenu de la fraîcheur on ne consommait pas beaucoup de gaz et du coup cela nous permettait de rester plus longtemps dans les airs. D’après elle nous allions pouvoir gagner au moins quinze minutes peut-être vingt à nous laisser porter par le vent. Elle a pris la radio pour donner sa position, j’avais ...
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