1. Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (7)


    Datte: 08/06/2019, Catégories: Lesbienne Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... toutes les deux. Tout comme moi elle n’était pas fière à ainsi quitter le plancher des vaches, par contre la vue que nous avions à l’horizon était en train d’augmenter et c’était vraiment impressionnant.
    
    Notre voiture ainsi que le gros 4x4 et sa remorque étaient en train de devenir tout petits. Par contre plus on montait, plus on pouvait découvrir oh combien le relief était proche du néant dans les parages, bref le terrain était pour ainsi dire plat. Le soleil aidait à la réussite de belles photos, mais j’avais sacrément froid aux doigts. À mesure que nous prenions de l’altitude, nous pouvions maintenant discerner la forêt, les champs, les habitations, mais surtout au loin, la surprise, le circuit.
    
    « Nous ne pourrons pas passer au-dessus du circuit, car cela est interdit.
    
    De plus il y a un petit aérodrome à côté et nous ne pourrons pas passer trop près.
    
    Il faut savoir que nous sommes dépendantes des vents, normalement ces derniers sont favorables aujourd’hui.
    
    D’après la météo, nous devrions pouvoir tenir au mieux une heure et demie en vol.
    
    Avec la radio que nous avons, je tiendrai au courant l’équipe au sol pour nous récupérer quand nous nous poserons. »
    
    Maintenant j’étais en train de réaliser que Muriel ne s’était pas collée dans mon dos pour se réchauffer, mais juste pour me faire sentir la taille de son sexe calé dans la raie de mes fesses.
    
    Cela me faisait tout drôle de m’envoler, nous avons rapidement pris de l’altitude et c’est ainsi que j’ai ...
    ... réalisé oh combien on était dépendant du vent. Je n’irai pas jusqu’à dire qu’il y avait du vent mais plutôt une brise plutôt fraîche, les véhicules avaient quitté notre endroit d’où nous avions décollé. Il était maintenant dix heures, de temps à autre Geneviève donnait un petit coup de brûleur, pour nous faire monter un peu. En plus d’être une très bonne capitaine d’industrie, Geneviève était en plus une formidable commandante de bord. Maintenant les maisons étaient minuscules, en regardant son altimètre, Geneviève nous a informés que nous étions déjà à neuf cents mètres. Je ne vous raconte pas comment la température avait chuté, j’étais en train de me dire que la patronne aurait pu nous dire de ne pas nous habiller en robe longue. Mais bon nous avions des doudounes qui conservaient la chaleur que nous générions. Geneviève avait à ce point tout anticipé, qu’il y avait une paire de gants dans les poches de nos manteaux.
    
    Muriel m’a fait retourner sur place, pour m’embrasser à pleine bouche, Geneviève nous regardait en souriant. J’avais l’impression qu’elle était attendrie par ce baiser que nous échangions, elle nous caressait les cheveux avec beaucoup de tendresse. Je vais vous avouer que quand j’ai senti les mains de la patronne qui commençaient à me caresser les fesses et surtout le minou, cela m’a permis de penser à autre chose, car honnêtement je n’étais quand même pas très fière là-haut. C’est vrai que les paysages étaient magnifiques, mais rien qu’à penser qu’il y avait ...
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