1. Point de vue


    Datte: 07/06/2019, Catégories: fh, fplusag, fagée, gros(ses), grosseins, fdomine, entreseins, pénétratio, Auteur: Bastian, Source: Revebebe

    ... sûr. Tu sais, les insultes au lit et ce genre de chose, ce n’est pas vraiment mon truc…
    
    Vraiment ? C’est ce qu’on va voir mon chéri, je vais te rendre fou, te faire perdre la tête… Je l’invite à se mettre en position assise, et je viens me glisser entre ses jambes, agenouillées. Puis j’attrape sa queue, et je viens la glisser entre mes seins, en lui demandant si cela ne lui plairait pas d’avoir une femme comme moi sous ses ordres et de faire de moi tout ce qu’il veut.
    
    — Je sais pas… Je… Je pense pas que ce soit trop mon truc, parvient-il à articuler avec quelques difficultés.
    
    Tout en le fixant droit dans les yeux, je commence à faire glisser son sexe encore tout luisant de ma mouille entre mes seins. Je lui dis que ça m’étonne de la part d’un obsédé des gros seins comme lui. Il ne réagit pas. Enfin pas sa tête. Car son sexe, lui, est redevenu bien rigide. Puis je lui demande s’il pensait qu’on en arriverait là tous les deux lorsqu’il m’a répondu sur le site ? Moi à ses genoux, en train de lui faire une branlette espagnole ?
    
    — J’avoue que non ! J’étais très loin de me l’imaginer, me répond-il dans un sourire.
    
    Je lui rétorque que c’est parce qu’il est sans doute un peu jeune et encore naïf. Et j’ajoute malicieusement que moi, je le savais, et que c’est ce que j’avais prévu lorsque je l’ai contacté sur le site. Je vois qu’il est troublé, je continue en lui disant que je peux faire à peu près ce que je veux d’un homme avec ma poitrine. Je lui raconte toutes les ...
    ... photos que j’ai dû supprimer pour éviter de me faire harceler, je lui décris celles (fictives) que j’ai failli lui envoyer pour être sûr qu’il finisse dans mon lit. J’exagère à fond mon côté manipulatrice, et j’emploie volontairement un langage très cru (qui me surprend moi-même) : je lui raconte le chemisier déboutonné. Comment je me suis collé à lui dans la rue, tout ça pour le faire bander et qu’il m’accompagne chez moi. Je mens même de manière éhontée lorsque je lui dis que tout était prévu depuis le début, la lampe à changer, la nuisette, le café renversé pour finir à genoux devant lui.
    
    Et surtout, je lui explique comment à chaque fois, j’ai pu constater à quel point ça marchait : comment il louchait sur mon décolleté au restaurant. Comment il était devenu subitement si gentil et serviable après. À quel point il bandait dans la rue, au point de ne même plus pouvoir marcher droit. Comme il s’est empressé de monter chez moi, comme un gentil petit chien… J’en rajoute, j’en fais des tonnes, et en même temps, je continue de le branler entre mes seins, en le regardant droit dans les yeux. Je vois monter en lui un mélange d’excitation, de gêne et de colère. Il est en train de perdre la tête. Je conclus ma démonstration en affirmant que mon plan a parfaitement marché, et que j’en avais la preuve, là, juste entre les seins. Mais surtout, je veux l’entendre de sa bouche, et qu’il lâche prise complètement. Alors, est-ce que mon plan a bien fonctionné ?
    
    — Oui ! me dit-il d’une ...