1. COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Les fantômes libertins (4/5)


    Datte: 03/03/2018, Catégories: A dormir debout, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... accoucher dans une bonne clinique, le Comte ne le supporterait pas.
    
    Quand on m’impose que mon fils naisse dans le lit où tous les garçons de cette famille sont venus au monde, je m’écrase, on ne contredit pas un Comte Edgar de la Motte.
    
    Je sais, « je m’écrase » dans la bouche d’une comtesse, ce n’est pas le langage châtier que l’on m’a appris en Suisse.
    
    Baiser des nuits entières avec des fantômes, le terme de « baiser » est-ce bien là aussi un joli mot dans ma bouche ?
    
    Dès sa naissance mon fils est confié à la nourrice aux grosses mamelles que le Comte a embauchée pour que j’évite de me fatiguer.
    
    Le médecin appelé à mon chevet me donne de quoi faire passer mon lait.
    
    Les jours passent, pas d’appel de la musique, pourtant depuis mon accouchement, mon corps réagit différemment qu’avant.
    
    Surtout mon clitoris que j’ai pris l’habitude de caresser, pour démarrer mon plaisir avant de me masturber avec un doigt la première fois.
    
    Ce matin, mon retour de couches arrive alors que je me pénètre avec quatre de mes doigts.
    
    Je suis prête à me mettre le cinquième, voyant que ça rentre comme dans du beurre.
    
    J’espère atteindre des degrés de plaisir comme j’en ressentais avec mes amants, mais la tache rouge sur mes draps m’en dissuade.
    
    Je sonne Lison.
    
    - Lison, peux-tu faire passer une information à monsieur le Comte en en parlant à Arthur ton époux ?
    
    Qu’il lui dise que je vais pouvoir lui donner un autre enfant quand il le voudra après que mes ...
    ... saignements auront cessé.
    
    Change mes draps pendant que je vais me baigner, tu n’auras qu'à dire à ton mari que tu as vu les traces rouges et que madame est bonne pour enfanter dans quelques jours.
    
    - J’ai compris madame, je vais trouver comment lui dire sans avoir l’air de lui dire, monsieur le Comte vous manque.
    
    Si Lison savait, le Comte, je n’en ai rien à faire, ce sont les soirées orgiaques qui me manquent.
    
    Me faire prendre par de nombreuses bites, aussi bien dans ma chatte que dans mon anus est devenu ma seule préoccupation, même si ce sont des fantômes qui font de moi une chienne.
    
    Les jours passent, le Comte brille par son absence, la musique aussi, je sonne Lison.
    
    - Lison as-tu fait la commission à ton mari qu’il dise au mien qu’il peut revenir m’honorer.
    
    - Oui, Madame, le matin où vous avez saigné, j’ai saigné moi aussi, j’ai fait le comparatif espérant réveiller ses envies.
    
    - Excuse, je ne comprends pas, tu sembles me dire que ton mari ne t’honore pas.
    
    Je dois comprendre que tu es toujours vierge !
    
    Elle tombe en pleurs, je me lève, je la prends dans mes bras.
    
    - Dis-moi, explique-moi ce qu’Arthur t’a fait depuis ta nuit de noce !
    
    - Rien, il se frotte à moi après m’avoir déshabillée, mais sa verge reste flasque. J’ai même été jusqu’à m’agenouiller pour le mettre dans ma bouche, risquant les foudres de Dieu.
    
    - Quelles foudres ?
    
    Tu ne risques rien, si tu savais, j’ai fait bien pire et pourtant je suis là devant toi, attendant que mon mari ...