1. COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Les fantômes libertins (4/5)


    Datte: 03/03/2018, Catégories: A dormir debout, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... du cul aussi serré.
    
    Ce fut l’ode à ma rondelle perdue, mais pas pour tout le monde, les fantômes semblant avoir des habitudes de ce côté là car cette nuit-là, j’ai brouté plusieurs chattes et me suis fait enculer trois fois.
    
    Après cette nuit, comme me l’avait prédit celle qui m’avait reçu la première fois, je finis ma grossesse sans l’appel du sexe par la musique toujours jouée par des musiciens aveugles sur une estrade qui apparaît et disparaît comme la porte par enchantement.
    
    Dans les jours qui suivent, nous assistons avec le Comte au mariage de Lison avec Arthur son majordome.
    
    Juste à la cérémonie dans l’église du village, j’aurais bien demandé au Comte que nos serviteurs se marient dans notre chapelle.
    
    Hélas, j’apprends que dans nos familles, on ne mélange pas les manants avec nous les nobles, même si la révolution est passée par là.
    
    Surtout dans notre région où nous avons su repousser ces sans-culottes à coups de pied aux fesses.
    
    Dans mes débordements sexuels, j’allais employer les mots mal venues dans ma bouche de « coups de pied au cul », certainement une déviance des bites que j’aime recevoir là.
    
    La cérémonie terminée, le Comte, contre toute attente, accepte que nous buvions un verre avec eux.
    
    Ils ont la chance que leur journée soit ensoleillée et très chaude, il a soif.
    
    On m’a assis sur une chaise vue mon état, je peux tout à loisir admirer la robe de Lison toute blanche et Arthur qui plastronne en exhibant sa jeune épouse.
    
    Je ...
    ... remarque un jeune homme qui la suit des yeux, semblant serrer les dents.
    
    - Monsieur mon mari, qui est ce jeune homme que je n’ai jamais vu et qui semble si triste en ce jour de joie.
    
    - C’est Louis un jeune palefrenier que j’ai engagé après la fin de son service dans la garde républicaine.
    
    Il a appris à s’occuper des chevaux et c'est bien utile pour entretenir les nôtres.
    
    Si vous le désirez, je pourrai lui demander de vous donner des cours, il travaille au manège que j’ai fait ouvrir dans notre relais cheval qui marche à merveille.
    
    - Monsieur dans mon état !
    
    - Après bien sûr, quand vous aurez été libérée de mon fils, je regarde tous les soirs, l’échographie que vous m’avez fait parvenir, vous êtes la femme la plus merveilleuse du monde.
    
    - En me présentant ce jeune homme, j’ai eu peur qu’après sa naissance des envies de m’emmurer ne vous fusse venue à l’esprit.
    
    Il me prend la main qu’il baise.
    
    - Venez madame, nous nous sommes assez affichés ici.
    
    Nous reprenons notre Mercedes, le Comte la conduit lui-même, je sais qu’il voudrait bien avoir un chauffeur pour faire comme ses ancêtres qui avaient chauffeurs ou cochers.
    
    Mais les temps ont changé et même si nos fermages nous donnent un confort maximum, il nous faut vivre sans grand tralala.
    
    L’accouchement se passe bien, Lison est là, c’est elle qui a appelé le médecin qui est venu au château.
    
    Il faut montrer pavillon bas avec la vie moderne qui commence à broyer nos bonnes manières, mais de là à ...