1. COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Les fantômes libertins (4/5)


    Datte: 03/03/2018, Catégories: A dormir debout, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    Je viens d’épouser le Comte Edgar de la Motte, devenant par la même Anne Comtesse de la Motte, je viens d’avoir 20 ans.
    
    Nous habitons son château en Vendée, terre de la chouannerie dont le Comte est l’un des descendants.
    
    Je viens de passer une seconde nuit dans notre grande salle.
    
    La porte bien présente a été ouverte et franchie par de jeunes femmes que je voulais essayer de sauver d’une mort atroce.
    
    Rester murée jusqu’à ce moment fatidique qu’est la mort pour tout être humain me révulse.
    
    Cette nuit, j’ai été prise par de vieux hommes présents à la place de leurs fils qui essayaient de défendre notre roi pendant cette révolution.
    
    Et dire que j’ai appris ces pages d’histoire dans mes livres en Suisse, sans jamais penser que je serais amenée à être témoin direct de ces faits.
    
    Au retour de cette soirée, j’apprends deux choses, l’une grâce à la miss anglaise connaissant maman qui vient derrière le vieux soudard me sucer le clitoris.
    
    Je devais être distraite le jour où dans notre leçon d’anatomie, Miss Agathe nous a parlé de cette partie de notre corps.
    
    Cependant, Suzanne mon amie a dû bien travailler après nos cours, excitant ce petit repli de chair qui s’existe dès qu’on le caresse.
    
    Dans les jours qui suivent, dès que j’apprends au Comte qu’il va être père, il refuse de venir m’honorer.
    
    Pourtant aussi bien le gynéco que l’ancêtre de miss Adam m’ont dit que mon bébé ne craignait rien à me faire baiser.
    
    Exemple dans mes soirées de plus en plus ...
    ... débridées, telle celle qui m’a appelée et qui m’a conduite en 1572 rester célèbre comme celle de la nuit de la saint Barthélemy, où a eu lieu l’assassinat de nos ennemies protestants.
    
    Cette même nuit, si à de nombreux endroits du royaume de France, les hommes s’égorgeaient, moi je m’éclatais avec un groupe de fantômes tous plus bien membrés les uns que les autres.
    
    J’ignore si les fantômes entre eux sont connectés et qu’ils connaissent les degrés de luxure que je franchis malgré mon ventre qui s’arrondit, mais je suis de plus en plus folle du cul.
    
    Certains se passaient au fil de leur épée, je passais au fil des bites, mais aussi des langues de nombreuses femmes qui voulaient me brouter, leur rendant la pareille.
    
    À trois mois de mon accouchement en 1915, de nouveau de vieux messieurs sont là pour remplacer leurs fils montés au front contre les Allemands.
    
    J’ai la malchance de tomber sur l’un d’eux à qui j’essaye de sucer la queue dans une magnifique fellation sans grand succès.
    
    Une jeune femme se présente à moi, je crois reconnaître Suzanne, mais je comprends qu’à cette date, c’est sa mère qui me présente sa langue et qui me lèche de mon bouton jusqu’à mon anus.
    
    Même ce petit trou est sensible à cette langue qui se faufile en lui.
    
    Je suis tellement attentionnée à ce que je fais que je ne vois pas un autre vieux bien vert qui vient me planter sa bite dans l’anus.
    
    - Une bonne sodomie j’aime.
    
    Madame, serais-je le premier ? J’ai rarement trouvé un trou ...
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