Le contrat - Histoires de Sexe

Le contrat

... monsieur, êtes-vous circoncis ? » Que faire pour mes cadeaux d’anniversaire ?

— C’est simple, dit mon homme. Si nous sommes quelque part et que tu vois un homme qui te plaît, je m’arrangerai pour aller pisser avec lui, ou me trouver sous la douche si on fait du sport ensemble. Comme cela je pourrai te dire d’avance s’il est encore calotté ou non.

OK, logique. Cela me rassurait aussi : en effet je voulais « fréquenter » un peu les messieurs avant de m’offrir leur bois - et de m’offrir à leur bois - même s’il était clair dans notre entente qu’une fois consommée, je devrais signifier au monsieur que j’avais des remords, je ne voulais pas tromper mon mari, il ne fallait pas qu’on se revoie, et toutes les salades que je pouvais imaginer…

— D’accord ? fit mon homme
— OK, dis-je, me faisant toute douce.

Sur ce, il me mit les fesses en l’air, et fit crier, l’un après l’autre, mes deux sexes. L’idée qu’ils allaient connaître d’autres queues que la sienne semblait l’exciter à un degré que je n’avais pas ressenti chez lui depuis longtemps. Et pour moi… « pour Catherine, tout bois prend racine ».

Nous étions à deux mois de ...

... mon anniversaire. J’avais donc deux mois pour trouver un gars dont le petit zizi n’était pas passé par le scalpel si généreusement appliqué aux Nord-Américains, aux Juifs, aux Musulmans, et à tant d’autres à travers le monde. Il faudrait que je mette toutes les chances de mon côté : les hommes sont généralement plus prépucés en Europe, et là je pouvais choisir, de la France à la Russie. J’ai décidé d’un seul coup : on irait en Toscane en vacances, et pour mon anniversaire, je me choisirais un amant italien. Dans ma tête, je l’appelais déjà Préputio - après tout, la peau comptait autant que l’homme, sinon plus.

— Des vacances en Toscane, cela te plairait ?
— Merveilleux. À Florence. Je connais une villa superbe avec de merveilleux courts de tennis.

Courts de tennis - petite jupette, petit string, je ne cacherais pas grand-chose aux mâles prospectifs, et eux ne cacheraient pas grand-chose, une fois dans les douches, au regard connaisseur de mon mari.

Là, c’est moi qui ai empoigné mon homme, et j’ai crié très fort quand il m’a inondée en hurlant de plaisir dans le fourreau très doux dans lequel on ne fera jamais de bébés…