1. Le contrat


    Datte: 04/06/2019, Catégories: fh, extraoffre, cadeau, cocus, fépilée, collection, amour, pénétratio, jeu, Humour couple, Auteur: Acadie69, Source: Revebebe

    Je m’appelle Catherine. Je suis d’origine française mais j’habite depuis longtemps en Amérique du Nord. Mes parents se sont installés dans la région de Boston quand j’avais dix ans.
    
    Contrairement à l’idée que certains se font du « puritanisme » américain, je peux vous dire que les Américaines se font probablement autant baiser, sinon plus, que les Françaises. Et souvent plus tôt, si j’en juge par mes cousines…
    
    Moi, je vis depuis longtemps par le proverbe qui va avec mon nom :« À la Sainte-Catherine, tout bois prend racine. » En ce qui concerne le bois, celui que les hommes ont au bas du ventre m’a toujours excitée. Mon vagin a été dépucelé en France le jour de mes dix-huit ans, c’était un cadeau d’anniversaire que je me faisais lors d’un voyage au pays natal.
    
    Mon anus ? Vous l’avez deviné, le jour de mes dix-neuf ans, mais dans le Vermont, aux États-Unis, cette fois. Et le jour de mes vingt ans, durant une visite dans une commune de femmes au Québec, j’ai couché avec une autre femme, histoire de savoir comment cela faisait.
    
    Ce fut ma seule déception : une femme, c’était doux, c’était chaud et moite, c’était soyeux, mais c’était surtout frustrant : juste une petite brindille entre les cuisses, aussi dure soit-elle, là où les mâles ont une belle branche, solide, vigoureuse, impitoyable parfois. Je comprends que les hommes soient bisexuels, j’ai beaucoup de peine à comprendre quel intérêt une femme peut avoir à coucher avec une autre femme, à plus forte raison à ne ...
    ... baiser qu’avec des femmes. Il en faut pour tous les goûts, mais mon goût à moi, c’est définitivement le bois bandé, les arbres, la forêt !
    
    Avant de me marier, à l’âge de vingt-deux ans, j’ai eu un bon nombre de petits amis… Je pense que tous ont bien joui et m’ont généralement bien baisée, même si former un vrai couple, solide et durable, ce n’est pas juste une question de baise.
    
    Sans bonne baise, par contre, pas de couple ! Et, à trente ans, après sept ans de mariage satisfaisant et sans anicroche, mais un peu routinier, j’ai proposé un jour à mon mari, un bel Américain calibré en joueur de football universitaire, une formule qui m’accorderait de la diversité, sans mettre notre couple en question - bien au contraire.
    
    C’est que la routine me lassait un peu, aussi rassurante soit-elle. Il faut dire aussi que mon mari, comme la majorité des Américains, est circoncis. J’aime cela, c’est définitivement plus propre et plus sain, mais de temps en temps je regrette de ne pas pouvoir jouer avec un prépuce« à la française », entier et avec l’odeur spéciale de cette petite peau.
    
    De même, avec mon époux blond au beau bout rose, je regrette les queues brunes ou noires que j’ai pu connaître en Afrique ou ailleurs. Mais je ne voulais pas « tromper » mon mari. Alors, un jour, je me suis risquée à lui glisser, au lit, comme cela, alors que je caressais tendrement la petite cicatrice de sa circoncision, que cela me manquait, de temps en temps, de pouvoir jouer avec un zizi encore ...
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