1. Le contrat


    Datte: 04/06/2019, Catégories: fh, extraoffre, cadeau, cocus, fépilée, collection, amour, pénétratio, jeu, Humour couple, Auteur: Acadie69, Source: Revebebe

    ... entier. Il m’a demandé si cela faisait une différence, et j’ai admis que durant la pénétration cela n’en faisait pas du point de vue de la femme, par contre pour les préliminaires c’était différent. Pas meilleur, pas pire : juste différent.
    
    Nous n’en avons plus parlé pendant quelques jours. J’avais un peu honte - après tout, il me faisait tout ce qu’un mari doit faire à sa femme, et même plus, et moi j’avais l’air d’une fille bizarre, qui se plaignait déjà, après sept ans de mariage, de ce que le sexe était trop « routine » - qu’est-ce que ce serait après vingt ans de mariage, et deux ou trois enfants que j’avais bien l’intention d’avoir entre mes trente et quarante ans ?
    
    Quelques semaines plus tard, alors qu’il venait de me niquer vigoureusement, il m’a glissé à l’oreille que je pouvais, si je voulais, avoir un amant de temps en temps. Il y avait réfléchi, et pour ne pas mettre notre couple en cause, il y aurait une règle fondamentale : je ne pourrais m’offrir à un autre mâle qu’une seule fois, et ce, quatre fois par an seulement.
    
    J’ai dressé l’oreille.Quelles quatre fois ?
    
    Hé bien, m’a-t-il dit, le jour de mon anniversaire j’aurais droit à ma dose de prépuce - puisque le premier pénis que mon vagin avait connu, le jour de mes dix-huit ans, était dûment capuchonné avant que je ne le décalotte avec mes lèvres.
    
    La veille de Noël, j’aurais droit à un amant noir, à cause de cette vieille blague de la femme qui va aux Antilles et se tape « onze pouces de Neige ...
    ... » - une symphonie en blanc et noir en quelque sorte.
    
    Le lundi de Pâques, j’aurais droit à des œufs dans mon petit panier - des œufs pleins de sperme que j’aurais le droit de vider de leur crème autant que je voulais.
    
    Dans les trois cas, je devrais prévenir mon mari, mais il ne voulait pas être présent durant mes rapports avec ces amants d’un jour. Par contre, pour son anniversaire, il exigeait d’être présent alors que je sélectionnerais un autre homme pour le faire cocu et en sa présence - ce serait à lui de décider de participer ou non.
    
    Bref, j’aurais droit à quatre autres quéquettes chaque année, sans qu’il m’en veuille, sans qu’il soit jaloux. Je l’ai regardé en demandant s’il était bien sûr, si c’était cela qu’il voulait, et pour toute réponse il m’a embrassée en disant que l’idée que j’aie des amants différents de lui l’excitait énormément. Pour le reste de nos jours ?
    
    — Si tu veux, dit-il.
    
    Et lui, voulait-il la réciproque ? Non, je lui suffisais comme femme, mais il savait que j’avais plus de besoins que lui, et il ne voulait pas que dans dix ans je regrette…
    
    J’ai calculé. Dans dix ans, sans compter mon mari, j’aurais eu droit à quarante autres kikis, dont au moins dix avec leur petite peau de naissance. Mais il y avait un problème.
    
    Pour un noir, pas de problème : cela se voit. Un arabe aussi. Mais comment savoir qu’un mâle a, ou n’a pas, été coupé ? Il est difficile de se précipiter sur un homme en lui demandant, de but en blanc : « Excusez-moi ...