A bas les préjugés !
Datte: 02/03/2018,
Catégories:
fh,
hh,
fhh,
cadeau,
cocus,
voisins,
amour,
Oral
69,
pénétratio,
hsodo,
confession,
Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... ce n’était plus ma femme mais la rencontre d’un soir, femme improbable fantasmée par les hommes, à la fois sensuelle, tendre, et pute jusqu’au langage. J’entends encore les « Baise-moi, si t’es un homme ! » ou les « Remplis-moi avec ton mandrin. Si tu sais t’y prendre, je te donnerai mon cul. »
Elle paraît bien timide, ma Céline, avec son amant. Lui fait le principal. Il la déshabille. Il se dénude aussi. Ma présence perturbe ma femme car de ce que j’ai vu de leurs rencontres, elle était autrement volontaire. Je vois bien qu’elle ne cesse de jeter des regards dans ma direction. Elle est manifestement gênée.« Ma pauvre chérie, je t’aurai décidément bien compliqué la vie… »
Xavier l’abandonne et vient vers moi.
— Je vais éteindre cette lampe ; elle te verra moins. Et aussi, si tu pouvais toi aussi te déshabiller, cela ferait plus "dans l’ambiance".
Je m’exécute. Me voici dans une pénombre qui doit masquer mon visage. Pour le reste, le bronzage de l’été doit me dissimuler un peu.
Xavier retrouve ma femme. Si elle regarde encore vers moi par moments, je vois bien que les caresses de l’homme la troublent. C’est lui qui l’entraîne vers la table et qui l’invite à s’asseoir dessus. J’ai déjà vu pareille scène, mais de loin, pas de si près. Céline est à demi allongée, les jambes pendantes, en appui sur les avant-bras. Xavier se penche entre ses cuisses. Céline, qui me regardait, encore troublée par ma présence, se tourne vers son amant. Lui, agenouillé, s’évertue à ...
... lécher ma femme. Il sait jouer de sa bouche. Par moments je vois une langue se tendre pour disparaître dans une fente qu’il lape. Par moments c’est de ses lèvres qu’il joue. Céline s’est allongée totalement. Elle bouge son bassin, et je sais combien elle peut être gourmande de ce genre de caresse.
Et puis l’homme se redresse pour aller embrasser la femme et lui apporter le goût de son intimité. Le baiser est torride. Elle m’a oublié. Déjà elle enserre les hanches de son amant pour qu’il la possède. Céline est passée bien vite de la femme perturbée par la présence de son mari à la femelle qui demande à être prise. Il est vrai qu’une table est autre chose que la délicatesse d’un lit ou d’un canapé. La position en elle-même est un appel à la baise par une approche différente, plus sexe, plus érotique, suggérant une possession plus sauvage.
Mais Xavier ne veut pas. Il desserre la tendre étreinte des cuisses en descendant le long du corps de ma femme, jouant longuement avec sa bouche sur les seins, aspirant les tétons. Céline gémit de ses caresses. Mais pas que. Je vois bien le bras de l’homme tendu et une main caresser la chatte, pousser deux doigts dans une fente qui doit hurler son envie d’être possédée par plus, plus gros, plus long, plus brûlant. Mais non, Xavier prend son temps, et lorsqu’il termine son parcours à nouveau avec sa bouche caressante, alors Céline est vaincue. Elle bouge la tête de droite et de gauche. Elle me voit mais ne me remarque plus. Elle est tout à ...