1. A bas les préjugés !


    Datte: 02/03/2018, Catégories: fh, hh, fhh, cadeau, cocus, voisins, amour, Oral 69, pénétratio, hsodo, confession, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... amant ; pire, un amoureux. L’arrière-garde, c’est mon amour-propre, mon orgueil de mâle. Sacrifiés !
    
    C’est donc un général conscient de ses faiblesses mais aussi de cette supériorité que donne un amour partagé qui contacte Xavier. Je lui parle sans détour de mon infirmité. Du rôle que je lui ai donné. Rôle qu’il accepte de bon cœur. Le salaud ! Mais qui refuserait pareille offre, même si elle est présentée comme thérapeutique ? L’offre de baiser une femme désirable et que des années de pratiques ont rendue experte pour donner autant que de recevoir.
    
    Nous convenons d’une organisation. Il avait les yeux qui brillaient. Il aurait accepté n’importe quoi, du moment qu’il pouvait baiser ma femme.
    
    Ainsi deux à trois fois par semaine je retrouvais Céline manifestement satisfaite de son traitement. De deux, les préservatifs étaient passés à trois. Mon psy était content de ce que j’avais organisé : « Ainsi, nous pourrons progresser plus vite. » Plus vite… Cela faisait deux mois que ma femme se faisait tringler par un autre, avec mon consentement en plus. Le comble, c’est qu’un jour elle m’a annoncé :
    
    — Chéri cela t’ennuierait si avec Xavier on se passait de préservatifs ?
    — Mais…
    — Il ferait un test, moi aussi, pour que chacun soit rassuré.
    
    C’est con, mais ce changement me paraissait une étape importante : avant, petite baise de rencontre ; après, petite baise entre amants établis. Or, c’est ce que je voulais éviter. Aussi j’ai pensé avoir la parade imparable en ...
    ... disant :
    
    — Mais tu risquerais de tomber enceinte : c’est moi qui suis stérile, pas toi.
    — Je sais. J’ai demandai à ma gynéco de me prescrire la pilule.
    
    Que répondre ? C’est moi qui avais introduit le diable dans la maison. Rompre le pacte ? Mon psy, qui sentait que cet arrangement dérangeait de plus en plus, me retint avec un « Soyez patient ; je sens que nous progressons. » Il avait raison : ma femme était particulièrement gentille avec moi ; elle rayonnait.
    
    Mais le pire est arrivé : l’appartement de Xavier a subi un dégât des eaux.
    
    — On pourrait l’héberger, le temps que cela sèche.
    
    Refuser et passer pour un couard qui a peur de recevoir le mal dans son sein ?
    
    Dès le premier soir, l’ambiance est particulière. Il faut dire que si moi je courais toujours avec Xavier et que ma femme baisait avec lui, nous n’avions pas reproduit une rencontre à trois. Chacun est en porte-à-faux. Eux surtout, dont je vois bien que ma présence perturbe. Ils échangent des regards, et il est évident que je dérange leurs plans.
    
    — Je vais vous laisser, dit le mari héroïque et prêt à aller jusqu’au bout de sa propre idée.
    
    Le psy avait dit « Encore quelques séances. Vous progressez à pas de géant. Encore une ou deux séances d’hypnose et vous serez de nouveau comme avant. Même mieux, si mon hypothèse se confirme. » J’avais hâte, alors j’étais prêt à tout. Tout, y compris aller dans la chambre d’amis. Surtout que Xavier devait partir dans un mois.
    
    — Pourquoi tu ne restes pas ...
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