En ton absence
Datte: 16/01/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
jeunes,
copains,
forêt,
Masturbation
préservati,
pénétratio,
jouet,
attache,
orties,
init,
lettre,
prememois,
Auteur: SophieF., Source: Revebebe
... raquettes destinées à électrocuter mouches et moustiques il taquine la pointe de ses seins. Il use d’un martinet pour rougir ses pauvres fesses. Il lui fait faire un jogging avec deux boules de geisha dans la chatte. Ça te rappelle quelque chose, tout ça ? Malheurs ou plutôt bonheurs de Sophie un peu maso, certes, mais très amoureuse d’Olivier, qui le sait bien…
Je me couche sur le sable. Julien :
— Tu nous avais promis, hier…
— Oui.
— Ça tient toujours ?
— Pourquoi pas ?
— Ce type, tu ne l’aimes pas ?
— Pas du tout !
— Pourquoi tu as couché avec, alors ?
— Je lui devais ça depuis des années. C’est sans importance.
Nous traversons. Le soleil sèche vite notre peau. Je ne veux pas entrer dans leur cabane. Nous serons mieux dehors, sous les pins.
— On se déshabille ? demande Julien, qui, sans attendre de réponse, enlève son slip de bain. Nicolas l’imite. Moi :
— Nous avons bien le temps. C’est Clémenceau, je crois, qui a dit que le meilleur moment de l’amour c’est quand on monte l’escalier. Avant de me mettre nue, donnez-moi envie de faire l’amour avec vous. Embrassez-moi un peu partout. Commencez par jouer avec mes seins, par exemple.
Ils tombent à genoux, se jettent sur ma poitrine qui n’a jamais été à pareille fête. Toi tu n’as que deux mains et une seule bouche ! Puis une main descend sur mon pubis, des doigts se glissent sous le tissu.
— Pas si vite, Nicolas. Ta bouche, d’abord.
Il enlève le bas de mon bikini, je le laisse faire. Il écarte mes ...
... lèvres et commence à lécher. Il débusque mon clito. Julien, lui, mordille la pointe de mes seins, c’est délicieux. Nous pouvons passer à l’épisode suivant :
— Réalisez votre fantasme, maintenant.
Nicolas :
— Quoi ? Tu te laisseras attacher ?
— Dans le champ qui vient d’être moissonné, le paysan a abandonné de la ficelle de nylon bleu. Allez donc en chercher.
Ils y courent. Je pars me cacher au milieu des buissons de genévrier, non sans me piquer un peu partout. La nature est sadique comme certains garçons. Ils reviennent, me cherchent :
— Sophie, Sophie !
Je ne réponds pas. Ils s’approchent de mes buissons. Ils sont bien comiques, la bite en avant ! Ils m’entraînent vers les quatre pins, lient le nylon autour de mes chevilles. J’attache moi-même mes poignets de la manière que tu m’as apprise ; ainsi je pourrai me libérer au cas où, parce qu’on ne sait jamais.
Me voici écartelée. C’est Nicolas qui entre en moi le premier. Je refuse toujours mes lèvres à la bite de Julien. Il peut bien attendre. Les va-et-vient de Nicolas sont rageurs. Il jouit très vite, Julien le remplace aussitôt. Ses mouvements sont plus amples, pour moi le plaisir approche, le plaisir est là. Sans toi. Tu m’en puniras, je le mérite.
Quand tu viendras pour que je te présente à mes parents un bouquet d’orties caressera mes seins et l’intérieur de mes cuisses. Puis tu les étaleras sur mon corps et tu les écraseras quand nous ferons l’amour. Ainsi il te sera donné de ressentir la même ...