1. En ton absence


    Datte: 16/01/2018, Catégories: fh, fhh, jeunes, copains, forêt, Masturbation préservati, pénétratio, jouet, attache, orties, init, lettre, prememois, Auteur: SophieF., Source: Revebebe

    ... m’as oublié, hein ?
    — Mais non, Quentin, il m’arrive de penser à toi avec beaucoup de douceur et la nostalgie du vert paradis des amours enfantines… Tu as fait le voyeur, hier.
    — Je voulais savoir pourquoi tu traversais la Loire avec ces deux garçons.
    — Tu devais bien t’en douter, non ?
    — Je m’en doutais un peu.
    — Et qu’as-tu éprouvé en nous voyant faire ?
    — C’est bizarre, j’étais à la fois triste et… tellement excité que je me suis branlé et que j’ai joui aussitôt. Tu vois, je te dis tout.
    
    Sa réponse ne me surprend pas. Vous êtes tous comme ça. Il insiste :
    
    — Mais j’étais surtout jaloux.
    — Quel vilain défaut !
    — C’est parce que je t’aime, Sophie… On s’embrasse, pour faire la paix ?
    
    Je lui tends une joue. Il prend mes lèvres, elles sont si près de la joue ! Il colle son corps contre le mien, ses mains descendent sur mes fesses. Il embrasse mieux qu’autrefois, il a mûri. Il me pousse vers mon lit, descend la fermeture éclair de ma robe, suce les pointes de mes seins, lèche ma chatte, aspire mon clito, soupire qu’il est heureux, dit que je suis à lui, rien qu’à lui.
    
    À quoi bon le détromper ? Il fouille dans sa poche droite, en sort unDurex sed lex, se met nu en quelques instants, revêt le Durex, entre en moi et me baise avec énergie. Il jouit si vite qu’il me laisse en rade.
    
    — Oh, que je suis heureux, Sophie ! Pas toi ?
    — Eh bien, tu vois, si tu étais allé un peu moins vite…
    — Pardon, je suis désolé ! Mais on va remettre ça tout à l’heure.
    
    C’est ...
    ... un égoïste, ce garçon. Toi, tu sais t’y prendre.
    
    — Non, Quentin. Je dois maintenant accompagner mes parents en ville.
    
    Il n’insiste même pas. Il a eu ce qu’il voulait. Il noue le haut du Durex (pas mal rempli) et le met dans sa poche avant de se rhabiller.
    
    — Alors, on se revoit bientôt, Sophie ?
    — Cet après-midi je retourne à Saint-Maurice.
    — Seule ?
    — Bien sûr que non. Tu pourras refaire le voyeur si tu veux.
    
    Il m’insulte (Salope !) et s’en va. À midi je mange carottes râpées et yaourt, je fais une petite sieste, le bois de ton prénom aussi. Vers 15 heures je mets le bas de mon bikini, ma robe bleue et en route pour Saint-Maurice. Nico et Julien y sont déjà. Ils me regardent froidement.
    
    — Oh, ça va pas, vous deux ! Qu’est-ce que vous avez ?
    — Le type d’hier s’est vanté tout à l’heure d’avoir couché avec toi ce matin.
    
    Je commence à connaîtrai les garçons. Je fais le pari qu’ils vont me baiser avec un acharnement décuplé. J’enlève ma robe.
    
    — Et alors ?
    — Alors, c’est vrai ?
    — Qu’est-ce ça peut vous faire ? Puisque vous n’êtes pas jaloux.
    — On n’est pas jaloux l’un de l’autre. Mais de ce type, si !
    — Il n’y a pas de quoi fouetter un chat.
    
    Ils pourraient répliquer qu’il y a de quoi fouetter une chatte. Avec des orties par exemple. Mais non ils sont plus innocents que toi. Un jour j’écrirai les nouveaux malheurs de Sophie. Son amant préféré l’attache, nue, à un poteau électrique et la bombarde de boules de neige. Avec une de ces nouvelles petites ...
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